Autres articles
-
Calcio : Naples stoppée, l'Inter revient à un point
-
Hambourg retrouve l'élite après sept ans de purgatoire
-
Ligue 1: L'OM et Monaco en Ligue des champions
-
Le Séville FC condamne l'agression de ses joueurs et appelle à des poursuites judiciaires
-
Ligue Conférence: Chelsea contre le Betis Séville en finale
Mené 2-0 à la 15e minute de jeu, le FC Barcelone, encore renversant, a résisté à un triplé de Kylian Mbappé pour dominer dimanche son éternel rival du Real Madrid (4-3) et s'envoler vers un 28e titre de champion d'Espagne.
Face à des Catalans qui ont encore offert un spectacle d'anthologie, cinq jours après leur demi-finale perdue en Ligue des champions contre l'Inter, Mbappé a répondu présent, avec un triplé pour le Real.
Mais le Français a de nouveau été bien trop seul pour résister au retour collectif barcelonais, comme lors des deux premières finales perdues en Supercoupe d'Espagne (5-2) et en Coupe du Roi (3-2 a.p).
Son après-midi, sur la pelouse du stade olympique de Montjuic, n'aurait pourtant pas pu mieux démarrer, avec un doublé clinique, en quinze minutes, d'abord sur penalty (4e) après avoir profité d'un cadeau du jeune défenseur catalan Pau Cubarsi, 18 ans, puis en contre (14e), trouvé dans la profondeur par son compère brésilien Vinicius Junior.
Ces deux nouvelles réalisations de l'attaquant, suivies d'une troisième en deuxième période pour réduire l'écart (70e) font de lui le joueur ayant inscrit le plus de buts lors de sa première saison au Real (39), et le nouveau "Pichichi" (meilleur buteur de Liga avec 27 réalisations). Elles auraient aussi bien pu faire basculer la course au titre.
Mais elles ne resteront, au final, qu'anecdotiques. Car son équipe, toujours déséquilibrée et privée de joueurs majeurs blessés (Carvajal, Rüdiger, Eder Militao, Camavinga, Alaba, Mendy), n'a rien fait de l'avantage de deux buts qu'il lui avait accordé, et a explosé face à la puissance offensive blaugrana, en encaissant quatre buts en moins de trente minutes (19e, 32e, 34e, 45e).
Les hommes de Carlo Ancelotti, dont c'était probablement le dernier Clasico sur le banc madrilène, se dirigent droit vers une saison presque blanche, sans trophée majeur, hormis la Supercoupe d'Europe et la Coupe intercontinentale, et un été mouvementé, en coulisses, à Valdebebas, le quartier général du club.
Avec un quatrième Clasico remporté cette saison, ceux d'Hansi Flick, eux, filent tout droit vers un 28e sacre de champion, synonyme de triplé national (Liga, Coupe du Roi, Supercoupe), avec désormais sept longueurs d'avance en tête de la Liga, à trois journées de la fin du championnat.
Désormais habitué aux renversements les plus insensés, le Barça, trahi à nouveau par ses faiblesses défensives, a, comme face à l'Inter en demi-finale de la Ligue des champions, attendu d'être mené deux buts à zéro pour se mettre à jouer son jeu.
Il n'y a eu, à partir de là, qu'une seule équipe sur le terrain, malgré le troisième but de Mbappé pour réduire l'écart (70e).
Et les joueurs catalans, qui sortaient pourtant d'une élimination cruelle en prolongation à Milan, ont récité leur football pour faire plier une défense merengue dépassée, grâce au défenseur espagnol Eric Garcia (19e) sur corner, un nouveau bijou du prodige Lamine Yamal (32e), et un doublé du Brésilien Raphinha (34e, 45e).
Mbappé, lui, a tout tenté, jusqu'au bout, pour sauver les siens. Mais le Bondynois, mis en échec par le gardien polonais Wojciech Szczesny en toute fin de match (90e) et auteur de deux autres buts annulés pour hors-jeu (56e, 90e+1), n'a pas pu empêcher la déroute madrilène.
Et c'est au final après un cinquième but du jeune Fermin Lopez au bout du temps additionnel annulé pour une main (90e+6), que les joueurs catalans, euphoriques, sont allés célébrer, un peu en avance, un titre qui ne peut plus vraiment leur échapper.
Face à des Catalans qui ont encore offert un spectacle d'anthologie, cinq jours après leur demi-finale perdue en Ligue des champions contre l'Inter, Mbappé a répondu présent, avec un triplé pour le Real.
Mais le Français a de nouveau été bien trop seul pour résister au retour collectif barcelonais, comme lors des deux premières finales perdues en Supercoupe d'Espagne (5-2) et en Coupe du Roi (3-2 a.p).
Son après-midi, sur la pelouse du stade olympique de Montjuic, n'aurait pourtant pas pu mieux démarrer, avec un doublé clinique, en quinze minutes, d'abord sur penalty (4e) après avoir profité d'un cadeau du jeune défenseur catalan Pau Cubarsi, 18 ans, puis en contre (14e), trouvé dans la profondeur par son compère brésilien Vinicius Junior.
Ces deux nouvelles réalisations de l'attaquant, suivies d'une troisième en deuxième période pour réduire l'écart (70e) font de lui le joueur ayant inscrit le plus de buts lors de sa première saison au Real (39), et le nouveau "Pichichi" (meilleur buteur de Liga avec 27 réalisations). Elles auraient aussi bien pu faire basculer la course au titre.
Mais elles ne resteront, au final, qu'anecdotiques. Car son équipe, toujours déséquilibrée et privée de joueurs majeurs blessés (Carvajal, Rüdiger, Eder Militao, Camavinga, Alaba, Mendy), n'a rien fait de l'avantage de deux buts qu'il lui avait accordé, et a explosé face à la puissance offensive blaugrana, en encaissant quatre buts en moins de trente minutes (19e, 32e, 34e, 45e).
Les hommes de Carlo Ancelotti, dont c'était probablement le dernier Clasico sur le banc madrilène, se dirigent droit vers une saison presque blanche, sans trophée majeur, hormis la Supercoupe d'Europe et la Coupe intercontinentale, et un été mouvementé, en coulisses, à Valdebebas, le quartier général du club.
Avec un quatrième Clasico remporté cette saison, ceux d'Hansi Flick, eux, filent tout droit vers un 28e sacre de champion, synonyme de triplé national (Liga, Coupe du Roi, Supercoupe), avec désormais sept longueurs d'avance en tête de la Liga, à trois journées de la fin du championnat.
Désormais habitué aux renversements les plus insensés, le Barça, trahi à nouveau par ses faiblesses défensives, a, comme face à l'Inter en demi-finale de la Ligue des champions, attendu d'être mené deux buts à zéro pour se mettre à jouer son jeu.
Il n'y a eu, à partir de là, qu'une seule équipe sur le terrain, malgré le troisième but de Mbappé pour réduire l'écart (70e).
Et les joueurs catalans, qui sortaient pourtant d'une élimination cruelle en prolongation à Milan, ont récité leur football pour faire plier une défense merengue dépassée, grâce au défenseur espagnol Eric Garcia (19e) sur corner, un nouveau bijou du prodige Lamine Yamal (32e), et un doublé du Brésilien Raphinha (34e, 45e).
Mbappé, lui, a tout tenté, jusqu'au bout, pour sauver les siens. Mais le Bondynois, mis en échec par le gardien polonais Wojciech Szczesny en toute fin de match (90e) et auteur de deux autres buts annulés pour hors-jeu (56e, 90e+1), n'a pas pu empêcher la déroute madrilène.
Et c'est au final après un cinquième but du jeune Fermin Lopez au bout du temps additionnel annulé pour une main (90e+6), que les joueurs catalans, euphoriques, sont allés célébrer, un peu en avance, un titre qui ne peut plus vraiment leur échapper.