Autres articles
-
ChatGPT devant la justice allemande pour violation présumée du droit d'auteur musical
-
Le fardeau des morts du cancer devrait fortement s'alourdir d'ici 2050
-
Cancer du sein : Les femmes qui ne se font pas dépister tôt ont un risque accru d'en mourir
-
Pour la première fois depuis un siècle, une fille va naître dans cette famille américaine
-
La météo extrême de l'été 2025 a coûté 43 milliards d'euros à l'Europe
Elle s’appelait “Numéro 16” et elle était aimée. La plus vielle araignée du monde est morte à l’âge de 43 ans, ont annoncé, le 27 avril, les scientifiques de l’université de Curtin, en Australie, qui l’observaient à l’état sauvage depuis 1974. La femelle Gaius Villosus a explosé les records de longévité grâce à un rythme de vie bien particulier: elle ne faisait rien.
Selon The Telegraph qui cite le communiqué des scientifiques, l’arachnide a vécu toute sa vie dans son terrier en bougeant le moins possible et dépensant le minimum d’énergie. Elle ne se déplaçait que rarement et ne s’est jamais aventurée à plus de quelques mètres de son nid.
La deuxième araignée la plus vieille du monde est morte à 28 ans, soit 15 ans plus tôt que “Numéro 16”. La chercheuse Barbara York Main, aujourd’hui âgée de 88 ans, a étudié ces arachnides.
“Grâce aux recherches détaillées de Barbara, nous avons pu déterminer que la durée de vie de ces araignées est due à leurs caractéristiques de vie, y compris la façon dont ils vivent dans les broussailles indigènes non défrichées, leur nature sédentaire et leur faible métabolisme”, explique dans un communiqué Leanda Mason, professeur et ancienne étudiante du professeur Main.
L’espèce dont est issue “Numéro 16” est toxique, mais ce sont les mâles qui quittent leurs terriers pour trouver une partenaire qui représentent donc parfois un danger pour l’homme.
“Nous sommes vraiment malheureux, nous espérions qu’elle vivrait au moins jusqu’à 50 ans”, a expliqué Leanda Manson au Telegraphe.
Selon The Telegraph qui cite le communiqué des scientifiques, l’arachnide a vécu toute sa vie dans son terrier en bougeant le moins possible et dépensant le minimum d’énergie. Elle ne se déplaçait que rarement et ne s’est jamais aventurée à plus de quelques mètres de son nid.
La deuxième araignée la plus vieille du monde est morte à 28 ans, soit 15 ans plus tôt que “Numéro 16”. La chercheuse Barbara York Main, aujourd’hui âgée de 88 ans, a étudié ces arachnides.
“Grâce aux recherches détaillées de Barbara, nous avons pu déterminer que la durée de vie de ces araignées est due à leurs caractéristiques de vie, y compris la façon dont ils vivent dans les broussailles indigènes non défrichées, leur nature sédentaire et leur faible métabolisme”, explique dans un communiqué Leanda Mason, professeur et ancienne étudiante du professeur Main.
L’espèce dont est issue “Numéro 16” est toxique, mais ce sont les mâles qui quittent leurs terriers pour trouver une partenaire qui représentent donc parfois un danger pour l’homme.
“Nous sommes vraiment malheureux, nous espérions qu’elle vivrait au moins jusqu’à 50 ans”, a expliqué Leanda Manson au Telegraphe.