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Selon Mustapha Salma, ce Centre, au lieu d’écouter les vrais militants dans les camps des séquestrés pour y évaluer la situation des droits de l’Homme, s’est contenté de s’entretenir avec les instances dirigeantes du Polisario. Ce qui explique que ledit rapport n’a pas mentionné les crimes perpétrés par ce dernier, ni les tortures subies par les militants qui osent s’opposer à sa direction.
Le Centre a été aussi dans la ligne de mire de la Coordination européenne au Sahara autonome du Maroc qui déplore “la partialité de Kerry Kennedy (la présidente du Centre) dans l’exercice de l’évaluation qui devrait être, sans doute, pour chaque humaniste un travail de fond, dans le respect de la déontologie des pratiques de toute action humanitaire”, selon un communiqué de la Coordination.
Cette organisation souligne à juste titre que le rapport prend part des constats de violation des droits de l’Homme par des accusations contre le gouvernement Marocain, sans soulever le mal causé par l’autre partie, celle du Front Polisario à l’égard des séquestrés des camps de Tindouf et de Lahmada. Et d’ajouter : « A ce niveau, nous rappelons à la présidente du RFK Center que l’exercice du travail d’évaluation en matière des droits de l’Homme, doit être soutenu par une approche bibliographique assez dense avant de faire appel à des personnes ressources, principalement les acteurs locaux, au lieu de choisir des personnes affidées aux séparatistes ».











