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Aussi faudra-t-il s’attendre à ce que le développement économique mondial stagne encore ou au mieux sa relance ne permettra pas aux Etats de sortir du marasme dans lequel ils se trouvent et par conséquent, de surmonter le chômage que connaissent certains pays européens.
Cette situation pessimiste s’expliquerait par une nouvelle inertie qui pourrait frapper l’économie mondiale et qui aurait pour conséquence la baisse du produit de production de 1 à 3%.
La Chine qui avait assuré ces dernières années un développement économique exceptionnel, connaîtra elle aussi une crise et ne pourra pas donc jouer le rôle de locomotive de l’économie mondiale.
Il en est de même pour les Etats-Unis menacés par l’Agence de notation Fitch de perdre leur triple A s’ils ne décident pas de réduire leurs dépenses publiques et l’augmentation des impôts d’un montant de 600 millions de dollars.
L’ONU prédit un développement économique mondial de 2,2% pour l’année 2012, 2,4% en 2013 et 3,2% en 2014.
Cependant, la Banque mondiale se veut plus optimiste dans ses prévisions relatives à la conjoncture économique mondiale. Pour cette institution, l’économie de la Chine et celle des pays émergents de l’Asie de l’Est poursuivront leur vitalité l’année prochaine.
Ainsi, la BM prévoit dans l’un de ses rapports que l’économie chinoise connaîtra un de développement de l’ordre de 8,4% en 2013 grâce notamment à d’importants projets d’investissement.
En ce qui concerne les pays de l’Asie de l’Est et du Pacifique, l’institution mondiale espère une augmentation du produit de production de 7,9% en 2013.
Quoi qu’il en soit, l’économie mondiale dans son ensemble n’est pas en rose. Et l’Europe, particulièrement les pays de la zone euro, n’arrivent toujours pas à entrevoir le bout du tunnel.
Ils attendent l’issue des prochaines élections législatives allemandes pour voir un peu plus clair. Ils espèrent aussi une relance de l’économie américaine qui pourra éventuellement servir d’aiguillon.