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L’objectif de cette rencontre était de débattre des différentes causes de la jeunesse dans les trois pays et de discuter des perspectives de coordination afin de renforcer le travail de lobbying, de proposition et de mobilisation des trois délégations.
Les débats ont porté, en outre, sur la question du Sahara et sur l’avenir de la région maghrébine qui est une composante intégrante du monde arabe. Dans ce cadre, Hazem Youssef, membre du bureau exécutif de la Fédération internationale des jeunes démocrates, organisation veillant sur le déroulement du festival, et chef de la délégation de la Jordanie représentée par le Parti communiste de ce pays, a évoqué les événements de Gdim Izik. Un film documentaire sur ces événements lui a été présenté démontrant par l’image et le son comment des éléments des forces de l’ordre ont été égorgés froidement par des milices armées aux ordres du Polisario.
Après qu’il a exprimé sa conviction que l’autodétermination est un droit acquis pour tous les peuples qui la réclament, et que les jeunes Ittihadis lui ont expliqué la réalité des choses concernant nos provinces sahariennes, il a déclaré qu’il lui est difficile, en tant que membre d’un Parti communiste, de se prononcer en faveur de notre cause. Cependant, il s’est dit « convaincu du fait que la problématique du Sahara devrait être résolue au sein de l’ONU ». Aussi, il a déclaré qu’il soutenait sans réserve l’option choisie par cette organisation internationale.
De leur côté, les jeunes Bahreïnis, représentant l’organisation de la Chabiba bahreïnie, ont affirmé leur soutien à la paix dans la région du Sahara. Ils ont, par ailleurs, souligné les avancées au niveau du respect des droits humains au Maroc qui, selon le président de la délégation bahreïnie, « ne peut en aucun cas être assimilé aux régimes de l’apartheid » en faisant référence à la déclaration de Maluma, président du comité d’organisation du Festival.
Lors de la cérémonie d’ouverture, ce dernier avait affirmé son soutien aux thèses des ennemis de notre intégrité territoriale et condamné le Maroc pour avoir défendu sa souveraineté nationale et son intégrité territoriale.