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Le 5 septembre 2009, l'équipe de Matjaz Kek est en visite à Wembley.
Ce qui doit être un tranquille galop d'essai quatre jours avant un match décisif pour la qualification contre la Pologne, tourne aigre.
Après une demi-heure d'un match que les Slovènes maîtrisent bien, Rooney s'effondre dans la surface, de manière assez théâtrale. L'arbitre désigne le point de penalty et avertit le malheureux défenseur central Bostjan Cesar... Evacué sur une civière, blessé dans son choc avec Rooney.
Après une défaite imméritée (2-1), les Slovènes, floués de ce qui aurait pu être une victoire historique dans le temple du football anglais, ont du mal à cacher leur colère et un fort sentiment d'injustice.
"En Angleterre, on a tendance à beaucoup critiquer les simulations. J'ai le sentiment que Rooney est tombé très facilement. Attendons de voir s'il est critiqué...", ironise le capitaine Robert Koren. "Il n'y avait pas penalty. Il y avait même faute pour nous, avec un carton jaune pour Rooney", s'offusque le gardien Samir Handanovic.
"C'est ce qui arrive quand on est une petite nation...", souffle le milieu Aleksander Radosavljevic.
Toujours titulaires, les trois hommes ont une occasion en or d'effacer la dette... Un nul et l'Angleterre serait sans doute éliminée d'une compétition qu'elle a l'ambition de gagner.