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L’échec des trois grands favoris, Brésil, Allemagne et Espagne, ainsi qu’en filigrane, celui du jeu de possession. L’élimination prématurée de sérieux outsiders : Argentine et Portugal. Le zéro pointé des équipes africaines. Le destin contrarié des trois meilleurs joueurs au monde, Messi, Ronaldo et Neymar. La faillite de grands attaquants, Agüero, Salah et Mané et le retour en force des manieurs de ballon, Modric, Rakitic ou De Bruyne. Ce sont autant de façons d’évoquer cette Coupe du monde. Pourtant, on n’a rien vu de neuf coté jeu ou organisation tactique. La compétition a été d’un niveau technique moyen. En revanche, elle a mis en valeur les équipes qui dégageaient d’abord une vraie force collective, au même titre que l’assistance vidéo (VAR) «Grâce au VAR, les arbitres ont pris la juste décision dans 99,3 % des cas en phase de poules», a dit Pierluigi Collina, le président de la commission des arbitres de la FIFA.