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A l’ouverture de cette session extraordinaire, Abderrahmane Azzouzi, secrétaire général de la FDT, a tenu à préciser que cette réunion consacrée à l’examen du projet traduit la volonté commune de tous les fédéralistes de dépasser la situation en attendant l’unité organisationnelle espérée par l’ensemble des militants.
La conscience collective des Fédéralistes de la prééminence de l’appartenance à la patrie à celle de l’appartenance politique, partisane ou syndicale est à même de faire de cette exception organisationnelle, due à l’exception constitutionnelle, un prélude essentiel de l’unité de la Centrale, a-t-il souligné. Il a appelé, également, à placer ce projet dans son contexte général en tant que résultat des luttes menées par les forces vives et démocratiques, depuis l’indépendance, pour la réforme constitutionnelle et politique et l’édification de l’Etat et une société moderne.
Les réformes constitutionnelles et politiques, a poursuivi Abderrahmane Azzouzi, résultent des conflits politiques et apportent les réponses aux revendications des forces progressistes. Tout en indiquant que la FDT fait partie de ces forces, il a tenu à confirmer que les réformes politiques restent une nécessité objective pour la réussite de toute réforme constitutionnelle. Ceci ne peut se réaliser sans la mise à niveau des partis, l’instauration de nouvelles listes, d’un système électoral et un mode de scrutin à même de rompre avec les pratiques du passé qui avaient énormément nui à l’action politique au Maroc. Il a aussi fait savoir que nombre de propositions exprimées dans le mémorandum de la FDT sont prises en considération dans le projet de nouvelle Constitution.
La FDT aura donc fait prévaloir les pratiques démocratiques et c’est donc en toute logique qu’elle appelle à voter « oui » pour le projet de nouvelle Constitution.