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La Commission de la programmation n’en fait qu’à sa tête

La VAR ne peut justifier le report du match RBM-Raja

Vendredi 21 Février 2020

La Commission de la programmation n’en fait qu’à sa tête
Désormais, c’est officiel. La rencontre devant opposer le CAYB au Wydad pour le compte de la 17ème journée du championnat national de football, Botola Pro D1, aura lieu, enfin de compte, ce samedi à 17 heures au stade municipal de Berrechid. Ce match était prévu initialement vendredi en prologue de cette manche.
Un chamboulement de date qui s’ajoute à un autre ajournement de dernière minute qui a provoqué l’ire et du RBM et du Raja. Ces deux clubs qui devaient en découdre jeudi pour le compte de la 16ème journée du championnat ont été informés mercredi en fin d’après-midi que leur confrontation a été reportée jusqu’à vendredi à 17 heures au stade municipal d’Oued Zem.
La LNFP n’a pas justifié officiellement ce report, mais certains avancent des raisons sécuritaires, du fait que jeudi devait coïncider avec  l’anniversaire du Mouvement du 20 février.
Une autre source indique que cet ajournement est expliqué par un dysfonctionnement de la VAR. Toutefois si l’on se réfère au règlement de compétitions sur la VAR, diffusé sur le site de la FRMF, cela ne justifie en aucun cas le report du match. Le texte souligne que « Lorsque la « VAR » programmée pour une rencontre est non opérationnelle, soit avant ou en cours du match, suite à des causes techniques, panne d’électricité ou autres ; cet incident n’aura aucun impacte ni sur le déroulement de la partie ni sur son résultat, et ne donne aucun droit au recours à des réclamations ou réserves».
Comme précité, ce report n’a pas été du tout apprécié par les dirigeants mellalis qui estiment qu’il ne peut que perturber davantage leur club qui n’arrive toujours pas à entrevoir le bout du tunnel. D’autant plus que cet ajournement intervient alors que le RBM, bon dernier du concours, aura à se déplacer jusqu’à Tétouan en vue d’affronter le MAT mardi prochain à 19 heures. Autrement dit, au lieu de quatre jours, le Raja de Béni Mellal n’aura que trois jours de récupération, sachant qu’il aura à se taper un long «trip» par bus jusqu’au Nord du pays.
Et c’est cette même contrainte qui se pose au Raja qui a demandé à ce que son prochain match de championnat contre la Renaissance de Zemamra, prévu lundi prochain au Complexe Mohammed V, soit reporté jusqu’après la partie des quarts de finale aller de Ligue des champions, vendredi prochain à Casablanca contre le TP Mazembe de la RD.Congo.
Bref, une programmation qui n’en finit pas de faire parler d’elle et de créer des misères à pas mal de clubs. Il est grand temps que ça cesse et pour de bon, car ça y va de l’image d’un championnat qui se veut professionnel.

Un match à huis clos pour l'AS FAR au lieu de quatre

La commission d'appel de la Fédération Royale marocaine de football (FRMF) a décidé de réduire de quatre à un match à huis clos la sanction infligée à l’AS FAR, annonce mercredi l'instance fédérale. La commission a également décidé de réduire l’amende à 50.000 dirhams au lieu de 100.000 dirhams, suite aux violences à l’issue du match du championnat entre le club de la capitale et le Raja de Casablanca, pour le compte de la mise à jour de la 15è journée de la Botola Pro D1, souligne la FRMF dans un communiqué publié sur son site internet.
La commission centrale de discipline de la FRMF avait décidé vendredi dernier de sanctionner l'équipe de l'AS FAR de quatre matchs à huis clos assortis d'une amende de 100.000 dirhams.
Les décisions prises à l'encontre du club de la capitale conformément à l'article 105 du code disciplinaire, interviennent après que "deux supporters de l'AS FAR s'étaient introduits sur la pelouse, entraînant la suspension de la rencontre pendant deux minutes et ainsi que pour l'utilisation de plusieurs fumigènes provoquant une forte fumée qui a conduit de nouveau à l'arrêt du match avec enregistrement d'état de récidive, en plus de jet de bouteilles, de feux d'artifice et de corps étranges sur le terrain après la fin du match, blessant plusieurs éléments de la sûreté et certains journalistes photographes".

Mohamed Bouarab

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