Que ce soit à Casablanca, Rabat, Agadir ou partout dans le Royaume, le public n’avait d’yeux que pour le Onze algérien que l’on aurait vu pousser l’exploit plus loin que la demi-finale.
La preuve que par le sport, on arrive à faire fi de tous les problèmes qui, au fait, ne sont que de faux problèmes. On devrait saisir ce message du cœur pour œuvrer de manière permanente et continue dans le sens du rapprochement entre les deux pays frères.
Et en guise de message du cœur, c’est cette fois du côté des courts qu’il nous vient. L’enfant surdoué du tennis algérien, Lamine Ouahab vient, en effet, de convoler en justes noces avec la coqueluche de l’ACSA, le club des champions, trophées et titres, la toute gracieuse Ghizlaine Hatem. Un bel exemple d’union qui mérite toutes nos félicitations et nos vœux de bonheur, de prospérité avec… beaucoup d’enfants.