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Le journal "Okdiario" a indiqué que le juge Rafael Lasala qui a écarté la responsabilité du ministère de la Défense pour ce qui est de l’utilisation d’une base militaire afin de permettre l’entrée en territoire espagnol du chef des séparatistes, a exigé, en revanche, un nouveau témoignage d'un haut responsable de l'équipe de Gonzalez Laya.
Outre le directeur de cabinet de l'ancienne ministre, la magistrature entendra également le témoignage de José María Muriel Palomino, ancien secrétaire technique au ministère des Affaires étrangères, concernant les dates d'entrée de Brahim Ghali en Espagne.
Le journal précise que le contexte de cette affaire judiciaire ne dévie pas de celui de la décision du gouvernement d’accueillir le chef du Polisario en Espagne, sans le soumettre au contrôle des douanes et du service de l'immigration, décision qui a provoqué une crise avec le Maroc.
Le journal a souligné que le juge fait clairement référence à la responsabilité directe de l'ancienne ministre quant à l’accueil de Ghali sans qu’il ne soit soumis aux habituelles procédures de contrôle.
Le chef de cabinet de l’ex-ministre a reconnu que c'est lui qui avait donné l'ordre pour éviter le contrôle des «douanes et celui du service de l'immigration» au chef des séparatistes.
Ahmadou El-Katab