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"Mon message ne peut être plus clair: les tricheurs qui comptent se rendre à Londres doivent se retirer de leur équipe olympique", a déclaré John Fahey, cité dans un communiqué.
"Se doper, c'est tricher: un point c'est tout. Un athlète qui se dope et qui participe aux Jeux trompe non seulement ses pairs, mais aussi les amateurs de sport du monde entier, en plus d'entacher son drapeau national et de mépriser les idéaux du mouvement olympique".
Les mailles du filet ont commencé à se déployer en amont des Jeux. Avec le soutien de l'AMA, fédérations internationales et agences nationales antidopage avaient mission de redoubler les contrôles sur les athlètes susceptibles d'être sélectionnés.
Le Comité international olympique (CIO) prend la responsabilité du programme antidopage à partir de l'ouverture du village le 16. Quelque 6250 contrôles, 5000 pour les JO et 1250 pour les Paralympiques sont prévus à Londres, avec le soutien logistique du comité d'organisation (Locog).
Selon l'AMA, les autorités antidopage du monde entier ont fait le nécessaire pour tenter d'identifier les sportifs malhonnêtes et partagent des renseignements afin de faciliter les contrôles ciblés sur les plus suspects.
"Les Jeux de Londres seront assujettis au plus grand nombre de contrôles de toute l'Histoire olympique, et les sportifs qui se dopent doivent savoir que les officiels antidopage les auront à l'oeil, et ce, dès leur arrivée au village olympique", fait valoir l'ancien ministre australien.