Autres articles
-
Une étude suggère un lien entre certains émulsifiants et un risque de diabète
-
Un changement social expliquerait la chute de la population masculine au Néolithique
-
Un remède pour les chamans, une drogue pour le Mexique
-
Au Royaume-Uni, les pénuries de médicaments atteignent des sommets
-
Une étude pointe les risques élevés des antipsychotiques utilisés en cas de démence
Elle a pour thème “L’allaitement maternel, un atout en situation de crise”, proposé par la Fédération mondiale pour l’allaitement. Objectif : promouvoir l’allaitement maternel, notamment en situation d’urgence, comme des naissances prématurées.
D’autres situations d’urgence sont aussi évoquées, comme la précarité de la mère, qui réduirait la probabilité d’allaitement.
En cas de naissance d’un enfant prématuré, la mère ne dispose pas toujours de ressources en lait naturel pour le nourrir. Pour régler cette situation d’urgence, le nouveau-né est nourri avec de lait de lactarium, provenant d’autres mères.
Concernant les cas de précarité, la Coordination française pour l’allaitement maternel (Cofam) observe que 75% des femmes ayant suivi des études supérieures allaitent, tandis que 45% de celles qui ont un niveau primaire ou collège le font.
Cette coordination d’associations profite également de cette semaine pour protéger le droit de la reprise du travail concilié à l’allaitement. Elle milite pour des créations de crèches d’entreprise, des aménagements d’horaires et un local dédié à l’allaitement, pour combiner activité professionnelle et allaitement.
L’allaitement maternel serait un atout pour la santé de l’enfant, il réduirait notamment le risque de diarrhées, d’otites et d’infections urinaires. Des rencontres avec des professionnels de santé spécialisés sont organisées durant cette semaine, dans différents centres hospitaliers et maisons d’association de France. La liste est disponible sur le site Internet de la Coordination française pour l’allaitement maternel (Cofam).
D’autres situations d’urgence sont aussi évoquées, comme la précarité de la mère, qui réduirait la probabilité d’allaitement.
En cas de naissance d’un enfant prématuré, la mère ne dispose pas toujours de ressources en lait naturel pour le nourrir. Pour régler cette situation d’urgence, le nouveau-né est nourri avec de lait de lactarium, provenant d’autres mères.
Concernant les cas de précarité, la Coordination française pour l’allaitement maternel (Cofam) observe que 75% des femmes ayant suivi des études supérieures allaitent, tandis que 45% de celles qui ont un niveau primaire ou collège le font.
Cette coordination d’associations profite également de cette semaine pour protéger le droit de la reprise du travail concilié à l’allaitement. Elle milite pour des créations de crèches d’entreprise, des aménagements d’horaires et un local dédié à l’allaitement, pour combiner activité professionnelle et allaitement.
L’allaitement maternel serait un atout pour la santé de l’enfant, il réduirait notamment le risque de diarrhées, d’otites et d’infections urinaires. Des rencontres avec des professionnels de santé spécialisés sont organisées durant cette semaine, dans différents centres hospitaliers et maisons d’association de France. La liste est disponible sur le site Internet de la Coordination française pour l’allaitement maternel (Cofam).
