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Les affaires des marchands de souvenirs italiens sont florissantes après qu'une statuette du Duomo, la cathédrale de Milan, ait été utilisée lors de l'agression contre Silvio Berlusconi le week-end dernier.
"Les ventes se sont vraiment envolées", selon Mario Mantuzzi, qui tient un stand sur la place de la cathédrale où s'est déroulée la scène.
Selon lui la réplique du Duomo s'annonce comme l'une des meilleures ventes de la période des fêtes.
"Les gens s'arrêtent, prennent l'objet pour voir combien il pèse, en essayant d'imaginer comment il a pu faire autant de dégâts physiques à Berlusconi", explique-t-il.
Massimo Tartaglia, un homme de 42 ans souffrant de troubles psychiatriques, a lancé une réplique de l'édifice en plein visage du Cavaliere dimanche lors d'une réunion publique dans la capitale lombarde.
Le président du Conseil, qui a eu deux dents cassées, le nez fracturé et les lèvres entaillées, devait sortir ce mercredi de l'hôpital.
L'agression a suscité une vague de compassion dans la péninsule, mais les touristes semblent montrer surtout leur intérêt pour "l'arme du crime".
"Il fallait que j'aie un souvenir, ce sera un cadeau de Noël", a témoigné un touriste brésilien, Manuel Magalhaes.
"Les ventes se sont vraiment envolées", selon Mario Mantuzzi, qui tient un stand sur la place de la cathédrale où s'est déroulée la scène.
Selon lui la réplique du Duomo s'annonce comme l'une des meilleures ventes de la période des fêtes.
"Les gens s'arrêtent, prennent l'objet pour voir combien il pèse, en essayant d'imaginer comment il a pu faire autant de dégâts physiques à Berlusconi", explique-t-il.
Massimo Tartaglia, un homme de 42 ans souffrant de troubles psychiatriques, a lancé une réplique de l'édifice en plein visage du Cavaliere dimanche lors d'une réunion publique dans la capitale lombarde.
Le président du Conseil, qui a eu deux dents cassées, le nez fracturé et les lèvres entaillées, devait sortir ce mercredi de l'hôpital.
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