Le quotidien Al Massae a publié dans son numéro 2284 daté du mardi 28 janvier 2014, un article qui diffame l’USFP, son Premier secrétaire et sa jeunesse et comporte plusieurs assertions fallacieuses.
En dénonçant ce comportement médiatique immoral et anti-déontologique, nous informons l’opinion publique de ce qui suit :
1- Toutes les assertions contenues dans cet article sont sans fondement. il s’agit d’accusations mensongères visant le parti et ses militants dans l’objectif de porter atteinte à leur action militante et aux succès politiques et organisationnels qu’ils enregistrent quotidiennement.
2- Ce que l’article en question comporte comme accusations est attentatoire à la réputation des personnes, à leur honneur et à leur dignité. Ce qui est considéré par les usages journalistiques et les lois réglementant l’exercice de cette profession comme une diffamation inadmissible et un comportement en contradiction avec la déontologie de cette noble profession
3-Ce n’est pas la première fois qu’Al Massae recourt à des rumeurs trompeuses et attentatoires à l’USFP, à sa direction, à ses membres et à ses sympathisants. Notamment ce qu’il a publié à propos de la rencontre protestataire que le parti a organisée le 5 octobre 2013, au sujet de laquelle il a prétendu que ceux qu’y ont pris part ont été payés pour le faire alors que l’opinion publique sait pertinemment qu’il s’agit là d’accusations gratuites que le journal n’a présenté aucune preuve pour étayer comme il n’a pas donné, non plus, de preuves tangibles justifiant la campagne systématique qu’il a menée contre l’USFP à la suite de son 9ème congrès en prétendant que l’élection de la direction qui en est issue était truquée.
4- Face à cette insistance du journal Al Massae à enfreindre la déontologie de la presse et à recourir à la diffamation systématique des membres du parti et de sa direction en proférant des accusations gratuites à leur endroit et en publiant des mensonges de nature à porter atteinte aux militants, à leur honneur et à leur dignité, le recourt à la justice est devenu une nécessité pour contraindre les responsables de ce quotidien à présenter des preuves de ce qu’ils ont avancé dans l’article sus-mentionné, qu’ils n’ont certes pas, et pour rendre justice aux victimes.