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Les responsables de l’ONA ont une façon bien à eux de communiquer. On a eu, jeudi 9 avril 2009, la désagréable surprise de nous voir empêchés d’assurer la couverture de conférence de presse relative aux résultats annuels de ce holding dont l’influence sur l’économie marocaine «n’est plus» un secret confidentiel. «Nous sommes désolés, la liste est restreinte. Ce sont les directives des hauts responsables des organisateurs» (Ndlr:ONA). Ainsi, avons-nous été bel et bien empêchés d’accomplir notre devoir d’informer les lecteurs.
En principe, l’information est censée être accessible à tous, d’autant plus qu’il s’agit d’un holding dont les filiales sont cotées en Bourse et qu’il ne devrait faire de rétention de l’information sachant que ce groupe a toujours prétendu être transparent.
On croyait avoir de bonnes raisons que ces censeurs, nouvelle version, se conduisent en chantres de la transparence, mais dans ce cas de figure, on était mal parti.
Mais ce n’est que partie remise, car rien ne nous empêche de revenir sur les résultats du Groupe pour la simple raison: la censure n’a jamais empêché les journalistes de s’acquitter de leur devoir.
En principe, l’information est censée être accessible à tous, d’autant plus qu’il s’agit d’un holding dont les filiales sont cotées en Bourse et qu’il ne devrait faire de rétention de l’information sachant que ce groupe a toujours prétendu être transparent.
On croyait avoir de bonnes raisons que ces censeurs, nouvelle version, se conduisent en chantres de la transparence, mais dans ce cas de figure, on était mal parti.
Mais ce n’est que partie remise, car rien ne nous empêche de revenir sur les résultats du Groupe pour la simple raison: la censure n’a jamais empêché les journalistes de s’acquitter de leur devoir.
