-
En Irlande, la "saine addiction" pour les saunas de bord de mer
-
Les poules rougissent en fonction de leurs émotions
-
Les propriétés d'une image influencent la perception du temps
-
Esther Duflo : Les pays riches doivent 500 milliards de dollars par an de "dette morale" aux pays pauvres
-
Une étude suggère un lien entre certains émulsifiants et un risque de diabète
"L'OMS continue d'évaluer l'impact de la pandémie grippale comme modéré", dit l'agence de l'Onu dans un communiqué. "Une évaluation précise de la mortalité et des taux de mortalité ne sera certainement possible qu'un ou deux ans après le pic de la pandémie."
Le virus H1N1 a causé la mort de 10.582 personnes à travers le monde depuis son apparition en avril mais ce nombre ne prend en compte que les cas confirmés par des laboratoires.
Or, dans de nombreux pays pauvres, les recherches - coûteuses - sur les causes précises des décès à la suite de maladies respiratoires ne sont pas toujours effectuées, précise l'OMS.
"Pour plusieurs raisons, ces chiffres ne donnent pas une image exacte de la mortalité durant la pandémie, qui est incontestablement plus forte que celle indiquée par les cas confirmés en laboratoire", écrit l'OMS.
L'organisation précise que, comparativement à la grippe saisonnière, le virus H1N1 affecte des personnes globalement moins âgées, que ce soit pour des cas bénins ou mortels.