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L’Algérie mise face à ses contradictions en matière de droits de l'Homme

Intervention de Hassan Boukili lors d'un débat interactif à Genève


Samedi 10 Mars 2018

Le Maroc a mis jeudi l'Algérie face à ses propres contradictions sur le dossier des droits de l'Homme, affirmant qu'elle n'a aucune crédibilité pour parler des droits humains à Genève".
"La délégation marocaine déplore l’hostilité que l’Algérie a érigée en dogme contre le Maroc et son Sahara", a déclaré le chargé d'affaires du Royaume à Genève, Hassan, Boukili, lors d'un débat interactif avec le Haut-commissaire aux droits de l'Homme, Zeid Raâd al-Hussein.
Le diplomate marocain réagissait aux mensonges de l’ambassadeur algérien au sujet des droits de l’Homme dans les provinces sahariennes du Maroc, dans le cadre de la 37e session du Conseil des droits de l’Homme de l'ONU.
"Nous regrettons l’insistance de l’Algérie à polluer les débats du Conseil en évoquant son différend politique avec le Maroc au sujet du Sahara marocain", a-t-il affirmé, relevant que "la seule chose qui reste à décoloniser dans notre région, c’est l’état d’esprit de la diplomatie algérienne à l’égard du Maroc et de son intégrité territoriale".
Soulignant que l’Algérie est très mal placée pour donner des leçons au Maroc en matière de démocratie et de droits de l’Homme, M. Boukili a estimé qu'"elle doit d’abord balayer devant sa porte et répondre aux revendications autonomistes des populations kabyles et mozabites, dont les militants sont l’objet de persécution, de torture, d’emprisonnement et sont forcés au silence ou à l’exil".
"L’Algérie n’a aucune crédibilité pour parler des droits de l’Homme, en raison des crimes et violations graves, passées et présentes, des droits de l’Homme commises sous sa responsabilité, pleine et entière, dans les camps de Tindouf", a-t-il fait observer.
Ce pays, a-t-il poursuivi, "n’a aucune crédibilité pour critiquer les droits de l’Homme au Maroc, alors qu’elle traîne plusieurs dizaines de milliers de cas de disparitions forcées, persécute les familles des victimes et s’oppose depuis toujours à la visite en Algérie des organes du Conseil des droits de l’Homme". Il a notamment cité le Groupe de travail des Nations-unies sur les disparitions forcées, le Rapporteur spécial sur la torture et le Groupe de travail de l'ONU sur la détention arbitraire.
M. Boukili a également rappelé que l’Algérie demeure l’unique pays du Maghreb qui maintient fermé son territoire aux visites des ONG des droits de l’Homme et à empêcher les militants algériens à se rendre au Conseil des droits de l’Homme à Genève.
Il a par ailleurs noté que les récentes vagues d’expulsions massives manu militari des migrants subsahariens, leur traitement dégradant et les déclarations xénophobes rapportées de hauts responsables algériens à leur égard "font honte à l’Afrique et suscitent l’indignation au moment où le monde entier célèbre le 70ème anniversaire de la Déclaration universelle des droits de l’Homme et le centenaire de la naissance de Nelson Mandela".
Il a dans ce contexte demandé au Haut-commissaire aux droits de l'Homme de soulever directement avec l’Algérie ses multiples violations des droits humains, y compris sa responsabilité au sujet des violations dans les camps de Tindouf, en sa qualité de puissance séquestrante des populations des camps et protectrice des violations de leurs droits, et de faire rapport à la prochaine session du Conseil en juin prochain.

 


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1.Posté par Karim le 09/03/2018 20:25
Rappel
L aide du Maroc avant l'indépendance à l' Algérie (Allah yrham chouhada maghrébins )
Article détaillé : Abdelhafid Boussouf.
C'est en partie grâce aux réseaux militants trotskistes que les ateliers de fabrication d'armes ont vu le jour au Maroc. Ces militants sont étrangers, une vingtaine pas plus : ouvriers spécialisés pour la plupart, ils sont venus de France, de Grande-Bretagne, de Grèce, des Pays-Bas, d'Allemagne ou d'Argentine qui ont fait le même choix de rejoindre les « frères » algériens de l'armée des frontières stationnée au Maroc. Au total, étrangers ou Algériens, ils sont deux cent cinquante à trois cents hommes qui travaillent au Maroc enfermés volontaires dans des fermes-usines clandestines, jusqu'à l'indépendance de l'Algérie, en juillet 1962. Selon le témoignage d'un moudjahid latino-américain Roberto Muniz[6], cinq ateliers furent implantés successivement à Bouznika (près de Rabat), à Témara (en plein centre de Kénitra), à Souk-El-Arba, Skhirat et Mohammédia. D'un atelier à l'autre, selon les époques, les conditions de vie étaient plus ou moins dures. Parfois c'est l'horreur.

Ainsi, à Témara, « pour des raisons de sécurité », les ouvriers de l'ALN ne voient « jamais le soleil » : enfermés vingt-quatre heures sur vingt-quatre derrière les murs aveugles de l'atelier, ils n'ont l'autorisation de sortir qu'à la nuit tombée, pour prendre l'air sur la terrasse. Il est prioritaire qu'aucun de ces ateliers ne soit repéré par l'ennemi - c'est-à-dire par l'armée française. La police marocaine, elle, ferme les yeux. « Des camarades ont dû vivre ainsi parfois durant un an. Certains ont gardé jusqu'à aujourd'hui des séquelles sur le plan psychologique », soulignait en 2001 un militant argentin. À l'atelier de Skhirat, où travaillent les ajusteurs, l'équipement sanitaire est inexistant. Les baraques-dortoirs font office de salles de bains et il faut « beaucoup d'ingéniosité » pour se laver. Plus tard, des douches sont installées et, comble du luxe, on aménage un réfectoire : « Auparavant, nous mangions dans un garage, à tour de rôle, compte tenu de l'exiguïté des lieux », précise Roberto Muniz. La qualité de la production n'est pas des plus performantes, mais le FLN fabrique ses propres armes pour l'ALN : le symbole est là. Sur une des photos noir et blanc rapportées du Maroc par un français militants trotskiste, on voit Pablo, assis dans la cour de l'usine, entouré de moustachus en uniforme, dont l'un, debout, fait un discours « à l'occasion de la sortie du 5 000e pistolet mitrailleur », De son côté, Roberto Muniz évoque une visite du colonel Houari Boumédiène, alors chef de l'état-major général (EMG) - nouvelle instance créée en décembre 1959 pour chapeauter l'ALN -, à qui les ouvriers offrent une mitraillette toute neuve, sortie de l'atelier, « en souvenir de nos efforts pour l'obtention de l'indépendance ». C'est au domaine de Bouznika, signale Roberto Muniz, que 10 000 mitraillettes « made in ALN » seront essayées, une à une, à l'intérieur d'un gigantesque tunnel sous la terre, avant d'être envoyée « au champ de bataille », c'est-à-dire, en principe, aux maquis.

Le chef de l'armée algérienne et les trotskistes ne sont pas les seuls à visiter les ateliers. Le vrai patron, celui qui vient régulièrement vérifier l'état de ses « troupes » ouvrières, c'est Abdelhafid Boussouf[6], que les hommes de l'ALN et les militants trotskistes désignent par son nom de guerre, colonel « Si Mabrouk ».

Ces ateliers sont implantés à :

Tétouan, en 1958. Fabrication de grenades.
Souk el Arba en 1958. Fabrication de bombes, grenades, torpille Bangalore.
Bouznika en 1959. Fabrication de bombes, grenades et armes blanches.
Shkiret en 1960. Fabrication de mortiers de 45 et d'explosifs.
Timmara en 1960. Fabrication de PM Mat 49 et armes blanches.
Mohammedia en 1960. Fabrication de mortiers de 45, 60 et 80.
Un autre atelier de réparation des armes et de fabrication de cartouches est installé au djebel Djelloul près de Tunis. I'ALN dispose également d'ateliers de confection de tenues et de chaussures, et de boulangeries
Le besoin en armes et la conduite de la guerre vont être à la source de la naissance des Bases de l'Est et de l'Ouest (1955-1956). Fortes de 150 à 200 hommes à la fin de 1955, elles comptent 1 200 hommes en juillet 1956 dont 80 % sont implantées au Maroc.
Au Maroc, les dirigeants du FLN et ceux de la Wilaya V s'installent au Nador, organisent avec plus ou moins de bonheur l'acheminement d'armes achetées et mettent sur pied des hôpitaux et des centres de repos, des écoles de formation et plus tard des ateliers clandestins de fabrication d'armes. Boussouf dont le PC reste à Oujda ravitaille les wilayas IV, V et VI, organise les transmissions et le renseignement...
Par Abdelkader Bousselham


...Les militants du FLN au Maroc, débarrassés dès mars 1956 de la présence militaire et de la police françaises, purent enfin sortir de la clandestinité.
En quelques mois, Boudiaf dont le QG était dans les environs immédiats de Tétouan, secondé par Allal Thaalabi, lui-même assisté par une équipe de cadres algériens du Maroc entreprit de constituer les premiers réseaux du FLN et de mobiliser l'importante communauté algérienne qui résidait dans le royaume. L'effort de guerre et l'engagement de cette communauté prirent plusieurs formes, jusqu'à la victoire, en juillet 1962.
(En compagnie d'autres frères - c'est ainsi que les patriotes qui s'engageaient dans la lutte se considéraient alors – j, ai vécu cette aventure inoubliable au Maroc- de mars 1955 jusqu'à la victoire finale et la proclamation de l'indépendance, en juillet 1962. Il est certain que les premiers pas du FLN auprès du Palais et du gouvernement marocains, ainsi qu'auprès de l'Istiqlal et de l'Union Marocaine du Travail, ont été grandement facilités par les Patriotes Algériens qui étaient déjà sur place, ou qui sont venus juste après la grève générale des Etudiants en 1956 .En tous cas l'adhésion spontanée au FLN, enthousiaste et massive, de cette communauté algérienne ou Maroc et la sympathie fraternelle et généreuse du peuple marocain ont largement t facilité la transformation du royaume en une base arrière vitale et sure de guerre de libération nationale .)

Il importe de souligner, à ce sujet, que contrairement à ce qui se passait à ce moment là en France, au sein de l'émigration algérienne, (guerre fratricide entre FLN et MNA), la communauté algérienne du Maroc se rallia unanimement, dès le début, au FLN et au FLN exclusivement. Aucune discordance n'a été signalée, ni en faveur du MNA, ni, encore moins, en faveur de la puissance coloniale.

Il y a lieu de noter également les contributions financières des Algériens du Maroc et des réfugiés à l'effort de guerre de l'intérieur. Comme nous le verrons, plus loin, dans le chapitre consacré aux finances extérieures de l'Algérie Combattante, la contribution des Algériens du Maroc fut substantielle. Toute la wilaya V et les réfugiés au Maroc ont bénéficié de la mobilisation des Algériens du Maroc. A tel point que Abbane Ramdane s'est littéralement fâché contre Boussouf en constatant que la trésorerie disponible de la wilaya V disposait d'un milliard de francs, début 1958, alors que d'autres wilaya n'avaient plus un sou en caisse.
C'est au cours de son passage à Oujda, fin 1957, après la bataille d'Alger, que Abbane fit ces constations. Dahleb était avec lui, tandis que Krim et Ben Khedda avaient fui Alger par l'est du pays via la Kabylie et les Aurès.

Quoiqu'il en fût de cet incident de Abbane avec Boussouf, fin 1957, une des caractéristiques de cette mobilisation générale de la communauté algérienne du Maroc fut le don de soi de ses jeunes. Avec une insistance souvent émouvante, ils s'impatientaient bruyamment pour se présenter devant le Conseil de révision itinérant, que l'organisation avait mis sur pied, en vue de rejoindre au plus tôt les jeunes de leur âge qui s'entraînaient déjà dans les camps de l'ALN, aux frontières algéro-marocaines.

Une autre caractéristique de cet engagement fut, très certainement, la mobilisation de tous, s'ingéniant, dans la plus ardente et la plus patriotique des compétitions, à faire mieux que l'autre pour servir concrètement le pays.
Les uns s'étaient spécialisés dans la récupération des armes et des munitions dans les casernes de l'armée française restée au Maroc, après de l'indépendance. D'autres « travaillaient » dans la démobilisation et la désertion des tirailleurs algériens qui en faisaient encore partie. Pour la plupart, ces tirailleurs algériens revenaient d'Indochine où ils avaient acquis une grande expérience dans la guérilla. Tous les jours, des dizaines de ces tirailleurs désertaient leurs unités, avec armes et bagages (950 armes individuelles ont été « récupérées » de cette façon et mis aussitôt à la disposition de la wilaya V en 1955 et 1956.
Au cours de la guerre, nombre de ces déserteurs algériens de l'armée coloniale ont fait le sacrifice de leur vie dans les rangs de l'ALN, les armes à la main, à l'intérieur du pays. Pour la plupart, ils n'avaient aucune formation politique et apparemment aucune raison matérielle de prendre les armes contre la France. Mais l'amour viscéral de la patrie, a été le plus fort, chez eux comme chez des millions d'autres Algériens en Algérie, au Maroc et ailleurs. D'autres déserteurs, dont des officiers de l'armée française les ont rejoints après.

La guérilla était peu connue alors. Or, au Viêt-nam, d'où ils revenaient tous, c'est à la guérilla imaginée, organisée et érigée par le Viet Minh en un art de lutte armée tout à fait nouveau, que ces tirailleurs déserteurs,et officiers, avaient eu à faire. C'est donc tout à fait naturellement qu'une fois devenus instructeurs ou sous-officiers au sein de l'ALN, ils ont enseigné à leurs djounouds, au cours des stages de formation, ce qu'ils savaient de mieux, c'est-à-dire la tactique, les stratagèmes, les techniques et les ficelles de la guérilla.

A noter que par la suite, l'ALN accueillit, à côté des élèves-officiers algériens, des stagiaires envoyés par les mouvements de Libération africains, en vue de leur initiation au métier des armes et à la guérilla. Nombre de ces stagiaires de l'Afrique subsaharienne sont devenus, par la suite, d'illustres combattants de la libération de l'Afrique et des personnages de premier plan, après l'indépendance de leur pays respectif.

Mandela (Afrique du Sud), Samora Machel, le Président Chisano (Mozambique), Agostino Neto et Cabral (Angola) et nombre d'illustres dirigeants africains, bénéficièrent de ces stages dans des camps de l'ALN.

Il y a lieu de relever souligner également, au sujet de toutes ces activités algériennes à l'intérieur du royaume ou à ses frontières, qu'en dépit du fait que le gouvernement marocain affrontait une multitude de problèmes pour organiser le pays, pour préserver l'ordre et la cohésion au sein de la Nation, et surtout pour éviter des actions de l'ex armée de libération marocaines ou de la Moukawama il ne s'est pas opposé, au début du moins, aux activités du FLN au sein de la communauté algérienne[1] ni à l'implantation de l'ALN aux frontières.
Le FLN au Maroc profita largement de ces facilités à tel point que tout le Maroc Oriental est devenu rapidement zone réservée et protégée algérienne et base arrière de la wilaya V.
Oujda hébergeait tous les services techniques du MALG (écoutes radio, chiffre, transmissions), les écoles spécialisées des cadres du FLN, à la direction de l'organisation de santé militaire et du Croissant Rouge. Quant aux camps d'entraînement et de stockage, tous les propriétaires terriers algériens et marocains de la région ont été mobilisés. Leurs vastes domaines de la Moulouya, d'Ahfir et de Berkane étaient devenus progressivement des bases fortifiées de l'ALN. Auparavant, l'armée de libération marocaine les avait largement utilisées.

De nombreux propriétaires et fellahs marocains de la région les ont imités par la suite en mettant leurs biens, leurs moyens matériels et modestes deniers à la disposition de leurs frères algériens de l'ALN.

L'hospitalité dont bénéficiaient les djounoud dans les bourgades de la plaine d'Ahfir, Berkane, Nador comme sur les flancs du Rif étaient souvent émouvante. Certains paysans marocains de la région ont même hypothéqué leurs biens pour continuer à faire honneur à leurs hôtes.

Quant à ceux qui n'en avaient pas les moyens, ils se mettaient à la disposition des unités de l'ALN des frontières et demandaient à endosser l'uniforme.

En accord avec les autorités marocaines officielles, soucieuses de ne pas impliquer le royaume dans la guerre d'Algérie, l'offre des volontaires marocains ne fut pas prise en considération...
Avec tout le respect du peuple algérien...
Maintenant la récompense de l autre côté
Le chiffre est énorme. Mais étalé sur quarante ans, il semble crédible. Pour le journal Algérie Times et son chroniqueur Hafid Bougara, «quarante ans de folles gesticulations au service d’un projet séparatiste fantoche au sud du Maroc auraient coûté 250 milliards de dollars à l’oligarchie militaro-politique au pouvoir, d’après les estimations d’experts algériens.»

Le chroniqueur qui a souvent des informations émanant de sources bien informées explique que «les budgets colossaux mis à la disposition d’une poignée de représentants des séparatistes, lobbies et médias, au grand dam du peuple algérien n’ont jusque-là servi à rien».

Parmi les actions financées par Alger, il faut citer le dernier fait en date. Dimanche 3 août 2014, on a lancé en Algérie l’ouverture d’une université d’été pour les cadres du Polisario. Il s’agit là d’une initiative d’un comité de solidarité avec «le peuple sahraoui». Un coup médiatique qui ressemble à d’autres voulant défendre «des causes justes des peuples opprimés» comme le précise le chroniqueur. Pourtant, tout le monde sait qu’en Algérie, il y a des populations opprimées comme les Kabyles et les Mzabes, dont les cultures sont marginalisées et les voix éteintes.

Le point de vue avancé par le journal algérien est étayé par le spécialiste du monde arabe, Jean-Marc Maillard. Ce dernier précise que l’Algérie se livre depuis de longues années et sans relâche à de grandes manœuvres de nuisances pour saboter tout le travail réalisé par le Maroc devant la communauté internationale.

Cela va jusqu’à l’achat de voix et de prises de positions, à travers des lobbies et autres groupes de pressions, pour déformer «les réalités» et prétendre de fausses vérités. Pour Jean-Marc Maillard, il faut lier ce type de campagnes de propagande «aux problèmes et crise interne de l’Etat voisin». Autrement dit, l’Algérie lance des écrans de fumées pour flouter la visibilité au sein de sa gestion du pays. Gros producteur de gaz et de pétrole, avec des réserves en devises colossales dont les enfants quittent le pays à bord de pateras comme cela a été le cas le 5 août où presque une vingtaine d’Algériens ont été sauvés in extrémis au large des côtes espagnoles.

«Les problèmes intérieurs du pays voisin ont tendance à prendre de l’ampleur eu égard à sa totale dépendance de la rente des hydrocarbures, une source énergétique limitée dans le temps», précise Jean-Marc Maillard.

Toujours selon le journal Algérie Times, une question doit être posée : «Pourquoi nos dirigeants ou bien la bande qui gouverne n’arrivent-ils pas encore à comprendre que la véritable bataille est celle du développement économique, la lutte contre la pauvreté et la marginalisation ?», affirme Hafid Bougara. C’est simple, le chroniqueur apporte plusieurs éléments de réponse mais insiste sur le fait qu’en Algérie l’origine du mal est à combattre chez ce qu’il appelle «les nouveaux colonisateurs», les assoiffés du pouvoir qui ont intérêt à ce que le pays demeure tel qu’il est au grand dam des populations algériennes.

Pour le journal Algérie Times, l’Algérie semble n’avoir qu’une seule et unique priorité : le Maroc et son Sahara. Pourtant elle revendique le statut d’observateur et proclame qu’elle n’est pas partie prenante dans le conflit qui handicape tout le Maghreb depuis presque quarante ans.
Allah yhdi aljami3.

2.Posté par Khalid le 09/03/2018 22:23
Le polisario n existe pas , elle n à ni état ni capitale ni quoique ce soit en résumer elle n'a ni queue ni tête de plus elle revendique son arabité dans une région à majorité amazigh .
Un mouvement mafieu à sa tête crée de toute pièce par les petro dinars du voisin.
Les Marocains sont de vrais patriotes pour rien au monde il n accepteraient de laisser quiconque piétiner ou leurs donner des leçons sur notre Sahara Marocain ,le Sahara est marocain comme Alger est la capitale de l Algérie ,le reste c est que du blabla ...

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