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Contrairement à bien d’autres cadres, il a choisi de rentrer au pays atterrissant chez Wifaq, Club de la CDG, comme par hasard. C’est d’ailleurs là que la création d’une académie sous les soins du « Professeur Afif » a vu le jour. Avec tout un tapage grâce à des micros, des plateaux ou des pages assezt intéressées. Le problème, c’est que des années, plus tard, ladite « académie » n’a toujours pas accouché d’un soupçon de joueur ou joueuese. On craint fort que l’on ait droit au même bilan, maintenant que la responsabilité a pris une ampleur nationale. Notre tennis bien aimé qui nous a procuré bien de moments chauds, de fortes sensations et la possibilité de nous mesurer aux grands de petite balle jaune de par le monde, n’en a nul besoin. Peut-être bien le nouveau DTN a-t-il de nouveaux tours dans son sac et toute une stratégie pour hisser le tennis national au plus haut niveau. Sauf qu’il y a un hic et pas des moindres. Avec les précieux cours prodigués au Wifaq et les grosses indemnités servies par la télé de la SNRT où il officie comme consultant, comme par hasard (bis), c’est un Abbas Fassi si Premier ministre, soit-il, qui se ferait envieux, ou carrément jaloux. Surtout que Afif, lui, c’est du net qu’il touche sonnant et trébuchant, le Maroc étant un Eldorado fiscal pour les sportifs réels ou supposés. On serait cependant curieux de savoir quel salaire et autres avantages seront alloués au nouveau D.T.N et s’il va se consacrer, par amour et dévouement au tennis, à 100% à sa nouvelle mission, ou s’il va s’amuser à jouer aux cumulards. Souhaitons au passage que Khalid Afif sache s’approcher des ces entraîneurs nationaux qu’il royalement snobés jusque là. Un Directeur technique se doit surtout d’être près des courts et non seulement de « la cour ».