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"Je parlerai du racisme à l'intérieur de la Fifa", écrit-il dans une lettre publiée mardi par le quotidien national Trinidad Guardian. "Je parlerai du sionisme, qui est probablement la raison la plus importante pour laquelle l'attaque contre (Mohamed) Bin Hammam et moi a été montée."
Il compte aussi "dévoiler la conspiration visant à protéger le trône de la Fifa pour Michel Platini", l'actuel président de l'UEFA. "Les gens de couleur ne peuvent-ils pas gérer le football? Où seuls les Européens possèdent-ils les qualités pour le faire", se demande M. Warner.
"Tous les vrais +cadeaux+ que Blatter a distribué pour sécuriser ses deux élections (à la tête de la Fifa) vont retourner les estomacs", prévient-il.
"Il y a beaucoup à dire qui va faire grincer des dents les sponsors de la Fifa et de la Concacaf (Amérique du nord, centrale et Caraïbes)", ajoute-t-il.
Warner a indiqué qu'il attendait la décision du Tribunal arbitral du sport (TAS) sur le dossier de Mohamed Bin Hamman pour s'expliquer plus largement.
Le Qatarien Bin Hammam, ancien président de la Fédération asiatique (AFC), conteste sa radiation à vie du football édictée en raison de sa tentative de corruption, (achat de voix contre de l'argent) auprès de membres de l'Union caribéenne de football (CFU), un mois avant l'élection à la présidence de la Fifa, où il était candidat contre Joseph Blatter, qui a été réélu en juin.
M. Warner, actuel ministre du Travail de Trinité-et-Tobago mais qui était aussi président de la Concacaf et de la CFU au moment du scandale, s'est retiré de ses fonctions dans le football à la suite de ces révélations de corruption, mais il a plusieurs fois menacé la Fifa de "tsunami" s'il était mis en cause.
La diffusion récente d'une vidéo par le quotidien britannique Daily Telegraph l'implique dans cette affaire qui a secoué la Fifa en mai et juin.