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Notre objectif est d’atteindre “le 100%” dans ce domaine, a souligné le responsable italien lors d’une manifestation organisée, dimanche à Venise, par son parti, la Ligue du Nord (droite-au gouvernement), dont la question de l’immigration constitue le cheval de bataille.
Maroni s’est félicité, à cet égard, des résultats auxquels a donné lieu l’accord conclu, en août 2008, entre son pays et la Libye, qui octroie aux autorités italiennes la possibilité de refouler les clandestins partis des côtes libyennes.
Depuis l’entrée en vigueur de cet accord, le nombre des clandestins interceptés en mer est passé de 15.000 à 1.400, soit 90% en moins, a rappelé Roberto Maroni.
Critiquant les attaques menées par l’opposition de gauche “qui a pour projet bien précis de faire entrer tous les clandestins”, le ministre a souligné que, dans sa politique en matière d’immigration, le gouvernement agit “en respect de toutes les règles, à commencer par celles internationales”. “Qui dit le contraire, est de mauvaise foi”, a-t-il soutenu.
Selon un récent rapport de l’Organisation pour la coopération et le développement économique (OCDE), le nombre d’immigrés clandestins en Italie s’établirait à près de 750.000 personnes, soit 1,09% de la population italienne et 25,6% de l’ensemble des résidents étrangers.