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Excluant l’éventualité de la préparation de quelque acte terroriste, plus d’un média, à l’image du quotidien «Le Parisien» ou la chaîne d’information BFM.TV, ont jugé bon de rappeler la déclaration faite au lendemain de l’arrestation, à Safi, des trois Marocains, auteurs présumés de l’attentat de Marrakech, par le ministre français de l’Intérieur.
«Il n’est pas exclu qu’il y ait d’autres ramifications et d’autres personnes à interpeller», a notamment dit Claude Guéant.
Pour sa part, Nicolas Sarkozy avait promis lors de la cérémonie organisée à Orly en mémoire des huit victimes françaises de l’attentat du 28 avril dernier que « ce crime ne restera pas impuni ».
Une semaine a suffi pour que l’on mette, côté marocain, la main sur les coupables présumés, mais tout laisserait supposer que les autorités françaises avaient leur idée à ce propos.
On voit mal en effet comment d’obscurs marchands de chaussures pourraient penser à agir en solitaires, en mettant toute une stratégie et tout un dispositif au point pour que leur acte devienne possible.
De là, à établir un lien entre les récentes interpellations et l’attentat de Jamaâ El Fna, il y aurait plus d’un pas qu’il faudrait se garder de franchir. Pour le moment du moins. En attendant, les investigations se poursuivent, de ce côté-ci de la Méditerranée comme de l’autre. La police marocaine vient d’ailleurs de procéder à l’arrestation de trois individus, comme le rapporte l’AFP.
Citant une source policière, l’agence française précise qu’il ne s’agit pas d’exécutants directs, mais ils auraient à répondre au fait d’avoir été au courant du projet des véritables auteurs de l’attentat de Marrakech.