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Cavalier
Le cavalier japonais Hiroshi Hoketsu, âgé de 75 ans, ne deviendra pas à Rio le plus vieil athlète de l'histoire des Jeux olympiques comme il l'espérait: il a dû renoncer à la course à la qualification après que son cheval est tombé malade, a annoncé la Fédération japonaise d'équitation.
Hoketsu, déjà le doyen des éditions de Pékin en 2008 et de Londres en 2012, avait dans le viseur le record du tireur suédois Oscar Swahn, médaillé d'argent aux Jeux d'Anvers en 1920 à l'âge de 72 ans et 10 mois.
Mais sa monture, Brioni W, 15 ans, ne partage pas la même forme éclatante que son propriétaire, et est tombée malade avant les qualifications du concours de dressage par équipes.
"J'ai malheureusement abandonné mon rêve de participer aux Jeux olympiques de Rio, parce que je ne veux pas trop solliciter mon cheval", a déclaré Hoketsu, cité dans un communiqué de la Fédération.
Hoketsu n'a pas précisé si cet abandon marque la fin de sa longue carrière, lui qui avait participé aux Jeux de Tokyo en 1964.
Le cavalier japonais Hiroshi Hoketsu, âgé de 75 ans, ne deviendra pas à Rio le plus vieil athlète de l'histoire des Jeux olympiques comme il l'espérait: il a dû renoncer à la course à la qualification après que son cheval est tombé malade, a annoncé la Fédération japonaise d'équitation.
Hoketsu, déjà le doyen des éditions de Pékin en 2008 et de Londres en 2012, avait dans le viseur le record du tireur suédois Oscar Swahn, médaillé d'argent aux Jeux d'Anvers en 1920 à l'âge de 72 ans et 10 mois.
Mais sa monture, Brioni W, 15 ans, ne partage pas la même forme éclatante que son propriétaire, et est tombée malade avant les qualifications du concours de dressage par équipes.
"J'ai malheureusement abandonné mon rêve de participer aux Jeux olympiques de Rio, parce que je ne veux pas trop solliciter mon cheval", a déclaré Hoketsu, cité dans un communiqué de la Fédération.
Hoketsu n'a pas précisé si cet abandon marque la fin de sa longue carrière, lui qui avait participé aux Jeux de Tokyo en 1964.
Toque
On savait les étudiants menacés par le surmenage, la malbouffe ou les soirées trop arrosées mais une université britannique a décidé de s'attaquer à un danger encore méconnu: le redoutable lancer de toques lors des remises de diplômes.
Née aux Etats-Unis, cette tradition consiste à lancer sa toque vers le ciel pour marquer dans l'allégresse la fin d'un cycle universitaire. Problème: en retombant, ladite toque peut provoquer des blessures si l'on en croit l'Université d'East Anglia, basée à Norwich sur la côte est de l'Angleterre, qui a donc décidé de mettre un terme à cette pratique.
Cette interdiction "fait suite à plusieurs blessures signalées au cours des dernières années", affirme l'établissement dans un communiqué. "Il s'agit là d'un risque inacceptable et nous souhaitons nous assurer que les remises de diplômes des étudiants ne soient pas gâchées".
Pour faire passer la pilule, l'université a proposé aux étudiants de truquer les photos en simulant le lancer de toques. Concrètement, les étudiants en toges sont invités à mimer le fameux geste, les toques étant ensuite numériquement ajoutées à l'image. En plus d'énerver les étudiants, l'interdiction n'a pas vraiment convaincu les spécialistes de santé.
"Invoquer de pseudo-raisons de santé et de sécurité pour interdire le lancer de toques (...) figure dans notre Top 10 des pires excuses jamais inventées", a ironisé Geoff Cox, un responsable de la direction britannique de la santé et de la sécurité (HSE).
"La probabilité d'être blessé par une toque volante est incroyablement faible et il est excessif d'imposer une telle interdiction", a-t-il ajouté.
On savait les étudiants menacés par le surmenage, la malbouffe ou les soirées trop arrosées mais une université britannique a décidé de s'attaquer à un danger encore méconnu: le redoutable lancer de toques lors des remises de diplômes.
Née aux Etats-Unis, cette tradition consiste à lancer sa toque vers le ciel pour marquer dans l'allégresse la fin d'un cycle universitaire. Problème: en retombant, ladite toque peut provoquer des blessures si l'on en croit l'Université d'East Anglia, basée à Norwich sur la côte est de l'Angleterre, qui a donc décidé de mettre un terme à cette pratique.
Cette interdiction "fait suite à plusieurs blessures signalées au cours des dernières années", affirme l'établissement dans un communiqué. "Il s'agit là d'un risque inacceptable et nous souhaitons nous assurer que les remises de diplômes des étudiants ne soient pas gâchées".
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"La probabilité d'être blessé par une toque volante est incroyablement faible et il est excessif d'imposer une telle interdiction", a-t-il ajouté.