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Cambrioleur
Pour fêter son forfait, il avait sabré le champagne: un cambrioleur de 42 ans a été surpris en train de regarder la télévision, une bouteille de bulles à la main, dans la maison de Provins (Seine-et-Marne-France) qu'il venait de dévaliser.
Le quadragénaire, connu des services de police pour des vols à l'étalage, a été présenté lundi au tribunal correctionnel de Melun, après 48 heures de garde à vue.
Samedi, vers 01H00, des policiers l'avaient découvert en état d'ébriété, dans le salon du pavillon qu'il venait de cambrioler. "Il était devant la télé" et "avait ouvert du champagne", a raconté une source policière, confirmant une information du parisien.fr.
Les fonctionnaires de police avaient été eux-mêmes prévenus par les propriétaires de la maison, située dans le cœur de cette cité médiévale, surpris en rentrant chez eux de voir les volets fermés, alors qu'ils les avaient laissés ouverts.
Interpellé sans difficulté, le cambrioleur avait pris le temps avant d'ouvrir la bouteille de champagne de faire le tour de la maison. "Il a été arrêté avec son butin", notamment "un passeport" et "de l'argent", a précisé la source policière.
Pour fêter son forfait, il avait sabré le champagne: un cambrioleur de 42 ans a été surpris en train de regarder la télévision, une bouteille de bulles à la main, dans la maison de Provins (Seine-et-Marne-France) qu'il venait de dévaliser.
Le quadragénaire, connu des services de police pour des vols à l'étalage, a été présenté lundi au tribunal correctionnel de Melun, après 48 heures de garde à vue.
Samedi, vers 01H00, des policiers l'avaient découvert en état d'ébriété, dans le salon du pavillon qu'il venait de cambrioler. "Il était devant la télé" et "avait ouvert du champagne", a raconté une source policière, confirmant une information du parisien.fr.
Les fonctionnaires de police avaient été eux-mêmes prévenus par les propriétaires de la maison, située dans le cœur de cette cité médiévale, surpris en rentrant chez eux de voir les volets fermés, alors qu'ils les avaient laissés ouverts.
Interpellé sans difficulté, le cambrioleur avait pris le temps avant d'ouvrir la bouteille de champagne de faire le tour de la maison. "Il a été arrêté avec son butin", notamment "un passeport" et "de l'argent", a précisé la source policière.

Trolls
Les personnes déclarées coupables de "trolling" (harcèlement sur Internet) au Royaume-Uni, pourraient encourir des peines allant jusqu'à deux ans de prison, selon les propositions de loi du gouvernement britannique.
"Il s'agit d'une loi pour combattre la cruauté et marquer notre détermination à prendre position contre les meutes aboyant sur Internet", a expliqué le secrétaire d'Etat à la Justice, Chris Grayling, au journal Mail on Sunday.
L'inquiétude grandit au Royaume-Uni face au fléau des "trolls" d'Internet qui postent des messages haineux sur les réseaux sociaux et menacent fréquemment leurs cibles.
L'un des derniers cas en date est celui des parents de la petite Madeleine McCann, disparue en 2007 dans le sud du Portugal, qui ont été harcelés sur Twitter.
"Ces 'trolls' d'Internet sont des lâches qui empoisonnent la vie de la nation. Personne ne tolèrerait que l'on distille un tel venin en personne, donc cela n'a pas non plus sa place sur les réseaux sociaux", a poursuivi Chris Grayling.
"C'est pour cela que nous sommes déterminés à quadrupler la peine encourue (pour ce genre de délit) qui est de six mois actuellement.
Les personnes déclarées coupables de "trolling" (harcèlement sur Internet) au Royaume-Uni, pourraient encourir des peines allant jusqu'à deux ans de prison, selon les propositions de loi du gouvernement britannique.
"Il s'agit d'une loi pour combattre la cruauté et marquer notre détermination à prendre position contre les meutes aboyant sur Internet", a expliqué le secrétaire d'Etat à la Justice, Chris Grayling, au journal Mail on Sunday.
L'inquiétude grandit au Royaume-Uni face au fléau des "trolls" d'Internet qui postent des messages haineux sur les réseaux sociaux et menacent fréquemment leurs cibles.
L'un des derniers cas en date est celui des parents de la petite Madeleine McCann, disparue en 2007 dans le sud du Portugal, qui ont été harcelés sur Twitter.
"Ces 'trolls' d'Internet sont des lâches qui empoisonnent la vie de la nation. Personne ne tolèrerait que l'on distille un tel venin en personne, donc cela n'a pas non plus sa place sur les réseaux sociaux", a poursuivi Chris Grayling.
"C'est pour cela que nous sommes déterminés à quadrupler la peine encourue (pour ce genre de délit) qui est de six mois actuellement.