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Moines sans frontières
Vous connaissez Médecins sans frontières, Reporters sans frontières ? Au Japon, des bouddhistes viennent de créer Moines sans frontières pour inciter leurs coreligionnaires à dépasser leurs querelles de chapelle.
Une réunion inaugurale s'est tenue dans l'ancienne capitale impériale de Kyoto (ouest), connue pour ses nombreux temples bouddhistes. L'un des créateurs de l'association, Hiroaki Nakajima, a espéré que ce nouveau mouvement favoriserait les contacts entre fidèles, actuellement répartis en de nombreuses écoles aux pratiques différentes.
"Les bouddhistes fréquentent peu ceux des autres écoles, mais nous pouvons nous retrouver au nom du bouddhisme qui promeut le salut des âmes et des êtres", a expliqué ce moine-chef du temple Joko-ji.
Avec leur nouvel emblème, Monks without borders ("Moines sans frontières"), ces bouddhistes veulent pouvoir aider plus facilement leurs coreligionnaires engagés dans de nobles causes, comme la réduction de la pauvreté, la lutte contre les discriminations et le secours aux victimes de désastres.
Le bouddhisme est pratiqué dans de vastes régions d'Asie de l'Est et du Sud où il compte des centaines de millions de fidèles.
Vous connaissez Médecins sans frontières, Reporters sans frontières ? Au Japon, des bouddhistes viennent de créer Moines sans frontières pour inciter leurs coreligionnaires à dépasser leurs querelles de chapelle.
Une réunion inaugurale s'est tenue dans l'ancienne capitale impériale de Kyoto (ouest), connue pour ses nombreux temples bouddhistes. L'un des créateurs de l'association, Hiroaki Nakajima, a espéré que ce nouveau mouvement favoriserait les contacts entre fidèles, actuellement répartis en de nombreuses écoles aux pratiques différentes.
"Les bouddhistes fréquentent peu ceux des autres écoles, mais nous pouvons nous retrouver au nom du bouddhisme qui promeut le salut des âmes et des êtres", a expliqué ce moine-chef du temple Joko-ji.
Avec leur nouvel emblème, Monks without borders ("Moines sans frontières"), ces bouddhistes veulent pouvoir aider plus facilement leurs coreligionnaires engagés dans de nobles causes, comme la réduction de la pauvreté, la lutte contre les discriminations et le secours aux victimes de désastres.
Le bouddhisme est pratiqué dans de vastes régions d'Asie de l'Est et du Sud où il compte des centaines de millions de fidèles.

Voleur
Un Japonais aimait tellement les chats qu'il en nourrissait 120 mais ils lui coûtaient si cher qu'il volait pour les entretenir, a expliqué la police nippone qui l'a arrêté.
Mamoru Demizu, un chômeur de 48 ans, est soupçonné d'une trentaine d'effractions dans des maisons où il aurait dérobé de l'argent et des bijoux pour un montant total évalué à 19 millions de yens (134.000 euros).
L'homme a indiqué à la police qu'il volait pour payer la nourriture de ses amis félins dont la consommation journalière atteint 25.000 yens (175 euros).
M. Demizu vivait avec un seul chat dans sa maison d'Izumi (ouest) mais en gardait une vingtaine d'autres dans un entrepôt voisin et nourrissait en plus quelque 100 spécimens errants.
"Et il ne leur donnait pas du pâté en boîte mais du poisson frais et du poulet", a souligné la police.
Un Japonais aimait tellement les chats qu'il en nourrissait 120 mais ils lui coûtaient si cher qu'il volait pour les entretenir, a expliqué la police nippone qui l'a arrêté.
Mamoru Demizu, un chômeur de 48 ans, est soupçonné d'une trentaine d'effractions dans des maisons où il aurait dérobé de l'argent et des bijoux pour un montant total évalué à 19 millions de yens (134.000 euros).
L'homme a indiqué à la police qu'il volait pour payer la nourriture de ses amis félins dont la consommation journalière atteint 25.000 yens (175 euros).
M. Demizu vivait avec un seul chat dans sa maison d'Izumi (ouest) mais en gardait une vingtaine d'autres dans un entrepôt voisin et nourrissait en plus quelque 100 spécimens errants.
"Et il ne leur donnait pas du pâté en boîte mais du poisson frais et du poulet", a souligné la police.