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Un autostoppeur français, accusé d'avoir perdu ses nerfs après avoir vainement tenté pendant quatre jours de quitter une petite localité néo-zélandaise, a plaidé coupable de dégradation devant la justice locale.
D'après des témoins cités par la presse néo-zélandaise, le prévenu de 27 ans s'est mis en colère après avoir tenté en vain de sortir de Punakaiki, localité touristique de moins de 100 habitants dans l'Ile du Sud, et s'en est pris à des panneaux de signalisation.
Il a plaidé coupable de dégradation de biens d'autrui, un chef passible de trois mois de prison mais le parquet a demandé 3.000 dollars néo-zélandais (1.960 euros) de dommages et intérêts.
Des témoins cités par Fairfax New Zealand ont raconté qu'il avait insulté des passants et arraché un panneau avant de le jeter dans un cours d'eau. L'intéressé a démenti l'avoir arraché, déclaré qu'il était déjà endommagé et conteste le montant des dégâts, selon la même source.
Devant le tribunal de Greymouth (ouest), il a lancé aux journalistes que le pays devait s'appeler "Nazi Zealand, pas Nouvelle-Zélande".
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