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C’est un projet d’étude très sérieux. Sept étudiants de l’école d’ingénieurs de Strasbourg ont envoyé ce samedi 19 mai deux ballons-sondes gonflés à l’hélium à plus de 30 km d’altitude. A bord de ces deux nacelles : des capteurs pouvant analyser la température, la pression, l’humidité et l’altitude, des caméras pour filmer la mission, un système d’émission-radio pour garder le contact avec la Terre et … deux bretzels. Surnommés «Bretz’il» et «Bretz’elle», ces deux cobayes doivent servir à conclure un débat alsacien ancestral : bretzel est-il masculin ou féminin ? Celui qui montera le plus haut dans l’espace remportera définitivement le match.
Cependant, bien que l’expérience puisse prêter à sourire, la mission a d’ores et déjà été saluée par plusieurs professionnels et professeurs du milieu aérospatial. Selon Europe 1, le projet a coûté 6.500€, dont 5.000€ ont été financés par une marque de bretzels, Burgard, qui possède une boutique sur la place Kléber à Strasbourg où a eu lieu le décollage. Selon Grégoire Chabrol, le coordinateur du projet interviewé par France 3 Régions, cette expérience a également permis à ses étudiants d’acquérir des compétences en « gestion de projet, en systèmes embarqués, électronique, traitement du signal, administratif aussi ». L’ascension avait effectivement été soigneusement préparée par les étudiants, signalée aux autorités et minutieusement prévue pour éviter qu’elle ne dérange les vols de la zone.
Cependant, bien que l’expérience puisse prêter à sourire, la mission a d’ores et déjà été saluée par plusieurs professionnels et professeurs du milieu aérospatial. Selon Europe 1, le projet a coûté 6.500€, dont 5.000€ ont été financés par une marque de bretzels, Burgard, qui possède une boutique sur la place Kléber à Strasbourg où a eu lieu le décollage. Selon Grégoire Chabrol, le coordinateur du projet interviewé par France 3 Régions, cette expérience a également permis à ses étudiants d’acquérir des compétences en « gestion de projet, en systèmes embarqués, électronique, traitement du signal, administratif aussi ». L’ascension avait effectivement été soigneusement préparée par les étudiants, signalée aux autorités et minutieusement prévue pour éviter qu’elle ne dérange les vols de la zone.