
Autres articles
-
Depuis sept décennies, la clim de l'ONU pompe l'eau de l'East River
-
L'agence spatiale indienne prévoit un vol habité pour 2027
-
L'Obélisque de Buenos Aires doté d'un ascenseur
-
Les 10% les plus riches responsables de deux tiers du réchauffement climatique
-
L'iboga, plante sacrée au Gabon et remède ancestral convoité
Une femme incarcérée à la prison de Sequedin, dans le nord de la France, a essayé de s'évader en se substituant à sa sœur jumelle, une tentative déjouée in extremis grâce au contrôle de leurs empreintes, a-t-on appris auprès de l'administration pénitentiaire.
Le 26 mai, au parloir des femmes, les surveillants remarquent qu'une femme de 19 ans est habillée pratiquement comme sa sœur placée en détention pour vol.
Dans le petit local fermé du parloir qui dispose d'un hublot, des surveillants "les surprennent en train de finir d'échanger leur tee-shirt et leur montre, ne sachant plus qui était qui", a expliqué à l'AFP un porte-parole.
L'utilisation de la biométrie ne permettant pas non plus de les identifier, les surveillants ont fini par vérifier leurs empreintes digitales pour distinguer la détenue de sa visiteuse.
Une "tentative par substitution" constituant une tentative d'évasion à part entière, les deux jeunes femmes ont été placées en garde à vue pour "évasion", selon la même source.
"Il y a une attention particulière quand il y a des jumeaux au parloir car on sait que c'est une technique qui peut être utilisée", a-t-elle souligné, précisant toutefois que ce type de tentative d'évasion était "rare".