-
De nombreuses personnalités françaises saluent l’adoption de la résolution "historique" du Conseil de sécurité sur le Sahara marocain
-
Colloque à Rabat sur "Le Sahara marocain : Histoire et défis géopolitiques"
-
Colloque scientifique sur l’histoire du Sahara marocain : De l’époque almoravide à nos jours
-
Les chioukhs des tribus sahraouies de Laâyoune-Sakia El Hamra saluent la diplomatie clairvoyante de Sa Majesté le Roi
L'Institut d'émission, dont le site Internet n'était pas accessible vendredi, a annoncé avoir servi au cours de l'appel d'offres du 11 août, un montant de 19 MMDH au titre des avances à 7 jours au taux de 3,25% pour un montant demandé de 37,33 MMDH.
Les interventions permanentes de Bank Al-Maghrib visent essentiellement à réduire le déficit de liquidités qui prévaut sur le marché et à limiter un tant soi peu les conséquences de plusieurs facteurs restrictifs de liquidités qui pourraient nuire sérieusement aux banques.
La sous-liquidité est telle que l'Institut d'émission se voient contraint d'intervenir pour prévenir une éventuelle hausse de l'inflation qui risque d'impacter l'évolution du crédit. Et le choix de Bank Al-Maghrib de maintenir inchangé le taux directeur à 3,25% rentre aussi dans ce cadre. Il a été dicté par la crainte de voir augmenter les risques d'inflation.
Plus globalement, on notera que le volume moyen des interventions de BAM à travers les avances sur 7 jours enregistre une hausse depuis quelque temps.
On observera toutefois une légère baisse des liquidités mises sur le marché depuis les précédentes interventions. Les dernières n'ayant pas franchi les 26 milliards de dirhams (MMDH) ont été injectées durant la période du 22 au 28 juillet dernier.
Quoi qu'il en soi, il est à craindre que tous ces facteurs aient des conséquences les taux des crédits en général. Tant il est vrai que la forte tension sur les liquidités bancaires constitue une menace pour le consommateur.







