«In Fissam», le nouveau téléfilm de Brahim Chkiri, prochainement sur les écrans : Manigances, avidité et appât du gain


ALAIN BOUITHY
Mercredi 9 Février 2011

«In Fissam», le nouveau téléfilm de Brahim Chkiri, prochainement sur les écrans : Manigances, avidité et appât du gain
«In Fissam» (Dédoublement) est un thriller comme les aiment les téléspectateurs. Une histoire à tiroirs, pleine de rebondissements et de suspense, qui traite de l'avidité et de l'appât du gain.
Produit par 2M, ce nouveau téléfilm est l'œuvre du jeune scénariste et réalisateur Brahim Chkiri. Avec les comédiens Rabie Kati, Rafik Boubker, Dimna Bounaylate, Najat El Ouafi, Aziz Dadès, Kalila Bounaylate, entre autres.  
Avec «In Fissam», Brahim Chkiri signe sa première collaboration avec la chaîne d'Aïn Sebaâ. Et livre aux téléspectateurs 90 minutes d'une histoire à la fois « machiavélique et haletante ».
Le téléfilm, dont l'avant-première aura lieu lundi 21 février à Casablanca, relate  l'histoire d'une femme qui se fait kidnapper dans des circonstances on ne peut plus floues. « Son mari effrayé fait appel à la police. Les premiers éléments de l'enquête ne révèlent rien… aucune trace de la victime. Un petit retour en arrière nous apprend que la femme a manigancé le kidnapping avec la complicité d'un jeune homme sans le sous, victime de son ex-femme et ayant besoin d'argent pour son enfant », dévoile le synopsis. Alors que tout semblait rentré dans l'ordre, le faux kidnappeur ayant reçu la rançon, le scénario de départ prend une tout autre tournure. Beaucoup  plus sombre que l'avait prévu le jeune escroc. De retour de son forfait, il découvre le corps de la femme inanimé. Pris de panique, il décide de l'enterrer dans la forêt, espérant ainsi dissimiler toute trace de vie de la victime.
Alors qu'il croit avoir tourné la page de cet événement tragique, le sort va s'acharner contre lui. Quelques jours plus tard, il aperçoit la victime dans la rue, celle-là même qu'il croyait avoir enterrée. Pris de panique, il retourne dans la forêt et à sa surprise, il découvre que le cadavre est toujours dans sa tombe.
Face à cette étrange situation et vu la tournure des événements, le jeune homme décide de mener son enquête pour comprendre ce qui s'est réellement passé. Ce qui aurait pu lui échapper. Et répondre à une question qui n'a cessé de le tarauder : qui est finalement cette femme ? Saura-t-il l'identité exacte de cette dernière? A-t-il été victime d'une manipulation? Dans ce cas qui est l'auteur de cette machination abominable?  Pour le savoir, les téléspectateurs devront se scotcher à leur écran, vendredi 25 février à 21h15, jour de la première diffusion du téléfilm sur 2M.
Brahim Chkiri fait ses premiers pas en tant que réalisateur au cinéma en Belgique. Plus tard, il part consolider son expérience en Turquie, Malaisie, Thaïlande et Pakistan. Avant se lancer dans la production audiovisuelle au Maroc.
Entre 2005 et 2007, il réalise sept téléfilms de différents genres : «Chelh ou bghaha fassia», «Manhouss ou zadouh kadouss», «L'enveloppe», «La forêt de la mort», «Sidi Mohamed Ouali», «Elle», «Le magistrat» et «Tiwerga » (Le cauchemar). Sa filmographie s'enrichit en 2008, avec deux œuvres très ambitieuses : «The Red Line» et «Quatre pierres» (premier film marocain en dialecte hassani). Récemment, en 2010, le réalisateur a tourné son premier long métrage au Maroc «Road to Kabul» et une série de documentaires-fictions « Akhtar Al Moujrimin».


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