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Dans un communiqué rendu public, les représentants des anciens détenus politiques affirment qu’ils entreront en sit-in ouvert accompagné d’une grève de la faim devant le siège du Conseil consultatif des droits de l’Homme à Rabat. Et ce, jusqu’à la résolution définitive de ce dossier. Par ailleurs, ils réclament leur intégration sociale complète et immédiate, outre la rééchelonnement en fonction des retards cumulés au niveau des promotions professionnelles. Ils dénoncent, entre autres, la dégradation de leur situation sociale désastreuse dont ils imputent la responsabilité au gouvernement. Rappelons que le Forum vérité et justice ainsi que l’AMDH ont toujours plaidé pour la réintégration professionnelle des 1200 anciens détenus politiques. Une bonne partie d’entre eux a eu gain de cause et sa situation a été régularisée. «Mais bon nombre attendent toujours cette chance qui, paraît-il, tarde à venir. Surtout que le CCDH a mis du temps pour appliquer toutes les recommandations de l'Instance équité et réconciliation, à savoir l’intégration immédiate des anciens détenus politiques», précise un militant associatif. Et comme l’avait déclaré auparavant un responsable associatif, il s’agit de deux catégories : «Il y a ceux qui doivent être réintégrés au travail qu'ils exerçaient avant d'être emprisonnés, et ceux qui n'ont aujourd'hui aucun métier». Ce qui rend la tâche difficile pour les responsables, appelés à mettre en place une politique basée sur des mécanismes rationnels en vue de résoudre ce dossier et de tourner définitivement une page sombre de l’histoire du Maroc.







