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Treize années durant, le regretté avait donné quotidiennement le meilleur de lui-même à notre journal.
En militant convaincu d’un métier qui fait partie intégrante des mécanismes qui accompagnent l’épanouissement de la démocratie et des droits de l’Homme, il avait passé le plus clair de son temps à décrypter le cours des évènements pour en comprendre les flux et les reflux.
Homme de convictions, le regretté avait rejoint Libé au terme de ses études supérieures et y a fait partie de la génération de journalistes qui ont fait le vœu d’anoblir l’exercice de la profession malgré les contingences et les difficultés auxquelles cet exercice se heurte parfois.
Mohamed Kadimi a tiré sa révérence, alors qu’il voulait encore croquer la vie à pleines dents. Comme tous les soutiers de l’Histoire que sont les vrais journalistes, il souhaitait encore faire mieux et plus.
Ses confrères de Libération se souviendront











