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Car ne l'oublions jamais, le rugby est considéré comme le sport le plus potable intellectuellement et exige un minimum de savoir pour tenir.
Sans intellectuels dans un sport et on osera dire tous les sports, il n'y a point de salut!
Et voilà le rugby national qui rejoint le basket dans des luttes intestines médiocres, sans que le ministère de tutelle ne soit encore parvenu à régler les problèmes des divisions, qui lèsent la discipline mais profitent à d'aucuns parasites. Au nom de la démocratie sportive!
Au rugby le mal a pour nom l'alternance orpheline.
Quant au virus, il ne disparaîtra pas de sitôt, tant qu'on ne lui aura pas trouvé de vaccin.
Alors il se confine et fait tout pour gagner du temps, quitte à ce que cet attentisme vienne à bout de la discipline elle-même.
Comme pour le basket!
La solution ?
Que le ministère s'assume, tout autant que le CNOM et impose une commission provisoire dans le cadre de la nouvelle loi, qui assouplit la vision "fasciste" (et c'est le cas de le rappeler !) de la substitution coercitive et indéterminée à une durée limitée.
Sinon on aura beau attendre, le président même rattrapé par l'âge et contesté à l'international ne pliera jamais l'échine. C'est que chez ces gens-là monsieur, on ne démissionne pas... pour l'honneur.
Comme du temps de la "3assabia" d'innovation Khaldoun. Mais c'est une autre histoire, au ministère du Sport, de la Jeunesse et de la Culture.
Le dirigeant doit être interpellé sur son taux de lecture et d'écriture, pas seulement comptable!