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En pleine crise socioéconomique, le gouvernement grec doit ainsi faire face à la pression des immigrés qui sont soutenus par un front politique, académique et social. Les autorités grecques ont pris des mesures draconiennes, dont l’encerclement du lieu de la grève à Athènes. La police a même procédé à des interventions musclées en usant de grenades lacrymogènes. « Nous sommes déterminés à poursuivre notre action, jusqu’au bout, car nous voulons démontrer que nous méritons nos droits en tant qu’êtres humains », a déclaré l’un des grévistes de la faim.
La société civile et politique grecque s’est montrée, pour sa part, solidaire avec les grévistes de la faim et a organisé des marches au cours desquelles des milliers de personnes ont battu le pavé, appelant à la régularisation des immigrés et au respect de leurs droits humains reconnus par les conventions internationales. Les banderoles brandies par les grévistes ont trait notamment au droit à la libre circulation, au travail décent et à l’éducation.
Un groupe de 20 jeunes immigrés dont une quinzaine de Marocains avaient régularisé leur situation en 2009, suite à une grève de la faim de plus de vingt jours.











