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Fouad El Omari du Parti Authenticité et Modernité (PAM) a été élu, hier, nouveau président du Conseil de la commune urbaine de Tanger.
M. El Omari, qui succède à Samir Abdelmoula, a été élu par 59 voix sur les 83 exprimées.
Il était attendu que la question de la légalité de la candidature de son seul rival ; à savoir Abdellatif Berrahou du PJD, soit évoquée pour que la sienne fasse également l'objet de débat. Les participants et les autorités locales ont préféré garder le silence à ce propos, considérant que les jeux étaient faits à l'avance.
L'affaire devrait donc, selon certaines sources, être soumise au Tribunal administratif de Tanger pour dire le droit concernant cette élection.
Fouad El Omari, précise-t-on, a été présenté comme candidat commun au poste de maire de la capitale du Détroit par le Parti Authenticité et Modernité (PAM), le Rassemblement national des indépendants (RNI) et l'Union constitutionnelle (UC).
Ce consensus, fruit de larges concertations entre les conseillers communaux et les instances locales de ces partis, répond à la volonté de ces formations politiques de "mettre en place une équipe de travail jouissant d'un soutien politique et d'une majorité capable de traduire dans les faits les engagements pris lors des campagnes électorales", indique un communiqué des trois partis.
Cet accord traduit également le rapprochement des positions de ces partis sur des questions locales et nationales, ajoute la même source.
A cet égard, les partis de cette coalition ont signé une "charte de bonne gouvernance", qui constitue une feuille de route et un programme conjoint pour la gestion du Conseil de la ville, sur une base contractuelle et concertée.
Cette charte a été signée par le secrétaire général du PAM, Mohamed Cheikh Biadillah, le président du RNI, Salaheddine Mezouar et le secrétaire général de l'UC, Mohamed Abied.
M. El Omari, qui succède à Samir Abdelmoula, a été élu par 59 voix sur les 83 exprimées.
Il était attendu que la question de la légalité de la candidature de son seul rival ; à savoir Abdellatif Berrahou du PJD, soit évoquée pour que la sienne fasse également l'objet de débat. Les participants et les autorités locales ont préféré garder le silence à ce propos, considérant que les jeux étaient faits à l'avance.
L'affaire devrait donc, selon certaines sources, être soumise au Tribunal administratif de Tanger pour dire le droit concernant cette élection.
Fouad El Omari, précise-t-on, a été présenté comme candidat commun au poste de maire de la capitale du Détroit par le Parti Authenticité et Modernité (PAM), le Rassemblement national des indépendants (RNI) et l'Union constitutionnelle (UC).
Ce consensus, fruit de larges concertations entre les conseillers communaux et les instances locales de ces partis, répond à la volonté de ces formations politiques de "mettre en place une équipe de travail jouissant d'un soutien politique et d'une majorité capable de traduire dans les faits les engagements pris lors des campagnes électorales", indique un communiqué des trois partis.
Cet accord traduit également le rapprochement des positions de ces partis sur des questions locales et nationales, ajoute la même source.
A cet égard, les partis de cette coalition ont signé une "charte de bonne gouvernance", qui constitue une feuille de route et un programme conjoint pour la gestion du Conseil de la ville, sur une base contractuelle et concertée.
Cette charte a été signée par le secrétaire général du PAM, Mohamed Cheikh Biadillah, le président du RNI, Salaheddine Mezouar et le secrétaire général de l'UC, Mohamed Abied.
