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M. Coulibaly a fait cette déclaration en marge de ses entretiens au siège des Nations unies, notamment avec le secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon, et le secrétaire général adjoint chargé des Opérations de maintien de la paix, Hervé Ladsous.
"Nous savons que des recrutements ont été fait" dans la région pour "nourrir les rangs des criminels du Mujao", moyennant "des salaires allant de 200 à 600 euros, selon les cas et les situations", a ajouté le ministre. Il a expliqué ces faits notamment par "la porosité de nos frontières qui sont très longues, difficilement contrôlables" ainsi que par "l'action des réseaux extrémistes qui fait que certains sont intéressés à rentrer dans ce genre de projet criminel".
C'est un projet qui menace non seulement le Mali, mais toute la région. "Ce qui se passe au Mali (bien que) localisé (...) est en réalité une menace qui s'adresse" à toute la région et même "au-delà de la Méditerranée", a-t-il averti.