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En réalité, ladite commission n’a pas convoqué ces joueuses mais elle a demandé aux différentes équipes opérant dans le concours national et au sein des ligues de sélectionner quatre filles de chaque équipe pour le stage prévu du 19 au 22 février. Alors que le match aller aura lieu au Sénégal les 5, 6 ou 7 mars, les lionnes accueilleront leurs homologues sénégalaises les 19, 20 ou 21 du même mois. Et bien sûr, improvisation oblige, certaines ligues et certaines équipes ont été écartées tandis que d’autres formations ont vu leurs joueuses retenues même si elles ne participent à aucun championnat ni au niveau national, encore moins local ou régional. La logique veut que c’est l’entraîneur ou le sélectionneur national qui choisit ses joueuses selon ses besoins et les compétences de chaque joueuse. Or, le Onze national féminin n’a pas encore de coach. Plusieurs observateurs pensent que c’est un autre stratagème des indéboulonnables « loups » de la commission centrale qui ont prouvé, depuis des années, leur incompétence et leur nuisance à la balle féminine. Et que, en fin de compte, on reprendra les « vieilles » filles pour affronter le Sénégal et que la nouvelle équipe fédérale n’est pas disposée à restructurer cette catégorie pour une meilleure pratique et vulgarisation en dépit des consignes et des subventions de la FIFA à Blatter. D’autres estiment que l’émancipation du foot féminin reste le dernier souci du nouveau président de la fédé car il a d’autres chats à fouetter et que les choses iront au gré des eaux quant à l’avenir du foot féminin. Devant cette gestion improvisée, on s’attendra sans doute à une autre mascarade au niveau continental et donc à une élimination précoce des lionnes de l’Atlas.