Autres articles
-
Hicham Ait Ouarchikh élu président de la FRMSSM
-
Le travail forcé sévit dans les quatre coins du monde
-
Anniversaire des FAR. 68 ans de réalisations et de dévouement au service de la Nation
-
Colloque international sur l'IA et les droits de l'Homme à Kénitra
-
Nasser Bourita représente Sa Majesté le Roi Mohammed VI au 25ème anniversaire de l’intronisation du Roi du Royaume Ashanti
Cocaïne
Les services de police du district de l’aéroport international Mohammed V de Casablanca ont procédé, mardi soir, à l’arrestation de ressortissants subsahariens en provenance d’un pays d’Amérique Latine en possession de 75 kilogrammes de cocaïne.
Cette saisie de drogues dures est la plus importante jamais réalisée ces derniers jours dans les différents postes frontières que compte le Royaume, a indiqué, dans une déclaration à la presse, le chef de la police judiciaire de l’aéroport, Abdelhadi Siba.
La drogue a été soigneusement dissimulée dans des objets de décoration, des pièces détachées de véhicules, des sacs à main et des sacs d’ordinateurs portables, a-t-il dit.
Arrestation
Les éléments de la brigade des stupéfiants de Casablanca-Anfa ont mis hors d’état de nuire un ressortissant algérien, fournisseur présumé de psychotropes, avec en sa possession un important lot de ces comprimés, indique-t-on mardi de source policière.
La fouille de son véhicule, un 4X4 immatriculé en France, a permis de mettre la main sur un lot de 10.662 comprimés (Rivotril et Valium), d’un ordinateur portable et de téléphones mobiles. L’enquête est toujours en cours, sous la supervision du parquet, pour arrêter d’éventuels complices.
Il s’agit de la plus grande saisie de psychotropes à Casablanca depuis début 2014.
Zoo
Une convention de coopération a été signée, mardi, entre le Jardin zoologique de Rabat et le Muséum national français d’histoire naturelle portant sur l’élaboration de programmes relatifs à la préservation de la biodiversité et la création d’un réseau d’échange d’informations et des expertises pour le développement des plans de regroupement des espèces animales.
L’accord qui s’étend sur 3 ans, prévoit l’échange de cadres entre les deux parties, le renforcement des capacités dans le cadre de sessions de formation continue, l’élaboration de publications conjointes et l’organisation de congrès et rencontres des groupes de travail.
