Intoxication
38 élèves du groupe scolaire Douar Ouled Benanou (commune Ait Imloul, caïdat de Louta) ont été victimes de malaises après avoir pris le déjeuner à la cantine de l’école, ont annoncé les autorités locales de la province de Rehamna.
Ces élèves ont été transportés d’urgence au centre hospitalier de Ben-Guérir, précise la même source, notant qu’ils sont sortis de l’hôpital après avoir reçu les soins nécessaires.
Une délégation du comité provincial de la répression des fraudes, dépêchée sur place, a procédé à la saisie des aliments suspects et a envoyé des échantillons au laboratoire régional relevant du ministère de la Santé pour analyse.
Procès
Le procès opposant des chercheurs marocains à la Banque mondiale, accusée d’avoir falsifié les données d’une étude sur les revenus des agriculteurs, a été reporté pour la seconde fois, et la prochaine audience aura lieu le 19 février.
Lors de l’audience de mercredi matin, le procès a aussitôt été reporté au 19 février, sur décision du président du tribunal «en raison de l’absence des avocats de la Banque mondiale», a indiqué Me Abderrahim Jamaï, l’avocat des chercheurs.
Moukharik
Le SG de l’UMT victime d’une agression sur l’autoroute Rabat-Casa La voiture de Miloud Moukharik, SG de l’UMT, a été mercredi soir, la cible d’un jet de pierres sur l’autoroute Rabat-Casablanca.
Le pare-brise a été cassé, mais Moukharik s’en est tiré sain et sauf alors qu’Amal El Omari, membre du secrétariat national de l’UMT, qui l’accompagnait, a été blessée et hospitalisée pour recevoir les premiers soins.
Noyade
Dix immigrés subsahariens ont trouvé, hier jeudi, la mort par noyade dans les eaux du préside occupé, Sebta, a informé le journal espagnol « El Pais » sur son portail. Selon la même source, ces immigrés ont voulu entrer à Sebta par la mer, ajoutant que le nombre de victimes pourrait dépasser le chiffre avancé. Toujours d’après la même source, « les forces de sécurité marocaines ont localisé 7 corps des Subsahariens et des témoins ont assuré que cinq d’entre eux sont des corps de 4 hommes et d’une femme », ajoutant que ces Subsahariens ont trouvé la mort par noyade et non pour cause de violence.