Le FUS de Rabat a été acculé au nul blanc par la formation tunisienne du Club Sportif Sfaxien, lors de la finale aller de la Coupe Orange de la Confédération africaine de football (CAF), disputée dimanche au Complexe sportif Moulay Abdellah à Rabat.
Un résultat qui ne compromet aucunement les chances de l’équipe marocaine, auteur d’un parcours des plus remarquables en cette C2 continentale. L’essentiel était de ne pas encaisser de but, ni de perdre la partie. Samedi prochain au stade Taeb Mhiri à Sfax, le Fath aura à défendre crânement ses chances dans l’espoir de déjouer les pronostics. Car, faut-il le rappeler, le FUS fait figure d’outsider devant le Club Sfaxien, un sacré client, lauréat de cette épreuve à trois reprises.
Du premier acte, le FUS, privé des services de Jamal Treiki et Hassan Issoufou sanctionnés, n’a pas démérité et a essayé de manœuvrer sur tous les flancs, mais il a buté sur un adversaire chevronné qui a utilisé la bonne tactique pour contenir la fougue des partenaires de Fatihi. Les Tunisiens ont défendu haut, tout en recourant au marquage du porteur du ballon. Peu d’espace s’offrait donc aux Fussistes qui ont eu beaucoup de mal pour pouvoir développer leur jeu et par là-même se créer de réélles occasions de but.
Pour l’entraîneur du FUS, Houcine Ammouta, «le match était très disputé et nous avons beaucoup souffert physiquement, en raison de la finale de la Coupe du Trône que l'on a jouée en milieu de semaine », a-t-il fait savoir dans une déclaration rapportée par la MAP.
Une issue de parité qui n’affecte aucunement le mental du groupe fussiste, selon Houcine Ammouta qui considère ce nul comme «une bonne performance puisque la pression sera du côté tunisien lors du match retour. A Tunis, l'équipe adverse sera acculée à sortir de sa coquille et va prendre des risques, chose que nous tâcherons d'exploiter».
Le moral est au beau fixe, d’autant plus que «nous n'avons rien à perdre étant donné le bon parcours que nous avons effectué cette saison, notamment le titre de la Coupe du Trône remporté jeudi dernier. Nous croyons en nos capacités pour sortir un bon match à Tunis et faire la différence là-bas", a-t-il déclaré.
Quant à Pierre Lechantre, l’entraîneur français du Club Sportif Sfaxien, il a fait savoir dans des propos recueillis par la MAP que «je savais que le match allait être très compliqué. Je connais particulièrement l'équipe du FUS et ses joueurs, ainsi que son entraîneur. On a adopté une tactique défensive pour arracher ce nul qui me satisfait pleinement. Pour moi, la moitié du travail est déjà faite en attendant le match retour qui sera également très difficile car l'équipe du FUS est très redoutable quand elle évolue loin de ses bases et dispose d'éléments à même de nous mettre en difficulté chez nous".
Pour rappel, il s’agit de la troisième confrontation entre le FUS et le CSS au cours de cette édition 2010 de la Coupe de la CAF. Ils s’étaient affrontés pour le compte des quarts de finale, formule de groupe : A Sfax, les Tunisiens s’étaient imposés sur le score de trois à zéro, alors qu’à Rabat la victoire était revenue aux Marocains sur le score de deux buts à un.
Un résultat qui ne compromet aucunement les chances de l’équipe marocaine, auteur d’un parcours des plus remarquables en cette C2 continentale. L’essentiel était de ne pas encaisser de but, ni de perdre la partie. Samedi prochain au stade Taeb Mhiri à Sfax, le Fath aura à défendre crânement ses chances dans l’espoir de déjouer les pronostics. Car, faut-il le rappeler, le FUS fait figure d’outsider devant le Club Sfaxien, un sacré client, lauréat de cette épreuve à trois reprises.
Du premier acte, le FUS, privé des services de Jamal Treiki et Hassan Issoufou sanctionnés, n’a pas démérité et a essayé de manœuvrer sur tous les flancs, mais il a buté sur un adversaire chevronné qui a utilisé la bonne tactique pour contenir la fougue des partenaires de Fatihi. Les Tunisiens ont défendu haut, tout en recourant au marquage du porteur du ballon. Peu d’espace s’offrait donc aux Fussistes qui ont eu beaucoup de mal pour pouvoir développer leur jeu et par là-même se créer de réélles occasions de but.
Pour l’entraîneur du FUS, Houcine Ammouta, «le match était très disputé et nous avons beaucoup souffert physiquement, en raison de la finale de la Coupe du Trône que l'on a jouée en milieu de semaine », a-t-il fait savoir dans une déclaration rapportée par la MAP.
Une issue de parité qui n’affecte aucunement le mental du groupe fussiste, selon Houcine Ammouta qui considère ce nul comme «une bonne performance puisque la pression sera du côté tunisien lors du match retour. A Tunis, l'équipe adverse sera acculée à sortir de sa coquille et va prendre des risques, chose que nous tâcherons d'exploiter».
Le moral est au beau fixe, d’autant plus que «nous n'avons rien à perdre étant donné le bon parcours que nous avons effectué cette saison, notamment le titre de la Coupe du Trône remporté jeudi dernier. Nous croyons en nos capacités pour sortir un bon match à Tunis et faire la différence là-bas", a-t-il déclaré.
Quant à Pierre Lechantre, l’entraîneur français du Club Sportif Sfaxien, il a fait savoir dans des propos recueillis par la MAP que «je savais que le match allait être très compliqué. Je connais particulièrement l'équipe du FUS et ses joueurs, ainsi que son entraîneur. On a adopté une tactique défensive pour arracher ce nul qui me satisfait pleinement. Pour moi, la moitié du travail est déjà faite en attendant le match retour qui sera également très difficile car l'équipe du FUS est très redoutable quand elle évolue loin de ses bases et dispose d'éléments à même de nous mettre en difficulté chez nous".
Pour rappel, il s’agit de la troisième confrontation entre le FUS et le CSS au cours de cette édition 2010 de la Coupe de la CAF. Ils s’étaient affrontés pour le compte des quarts de finale, formule de groupe : A Sfax, les Tunisiens s’étaient imposés sur le score de trois à zéro, alors qu’à Rabat la victoire était revenue aux Marocains sur le score de deux buts à un.
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