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Dans un communiqué publié en l’occasion, elle a rappelé que le Commissaire européen pour l'environnement, les affaires maritimes et la pêche, Karmenu Vella, et le ministre de l'Agriculture et la Pêche maritime, Aziz Akhannouch, avaient exprimé en 2017 leur intention de renouveler cet instrument indispensable aux deux parties.
Une évaluation indépendante publiée aujourd'hui souligne le bilan positif de l'actuel protocole qui a eu un impact socioéconomique positif pour le secteur de la pêche tant au sein de l’UE qu'au Maroc, et a contribué à une pêche plus durable.
Elle a également précisé que le support sectoriel prévu par ledit protocole a, en tant qu'appui à la stratégie Halieutis de développement du secteur de la pêche au Maroc, bénéficié à toutes les régions couvertes par celui-ci.
L'évaluation souligne également les clauses du protocole favorables au développement économique qui avantagent la population locale, comme les débarquements dans les ports et l'embarquement des marins locaux (près de 200 marins sont employés à bord des bateaux européens).
Elle a donc incité le Conseil à approuver cette recommandation d'ici les prochaines semaines, afin de permettre un début rapide des négociations. Ce qui sera de nature à garantir la continuité et la sécurité juridique pour les pêcheurs et l'industrie, à l'expiration de l'actuel protocole, a-t-elle indiqué en précisant qu’environ 120 navires de 11 Etats de l'UE (Espagne, Portugal, Italie, France, Allemagne, Lituanie, Lettonie, Pays-Bas, Irlande, Pologne et Royaume-Uni) sont concernés par ledit protocole de pêche.








