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Le président de l'Union des producteurs arabes, Ibrahim Abou-Zikri, a déploré, dans un communiqué, la perte de cet artiste hors pair, rappelant les efforts du feu Mesbahi pour éclairer l'opinion publique arabe et islamique, qui lui ont valu l'hommage de nombreux médias arabes et étrangers. Le défunt artiste, père de la réalisatrice Imane Mesbahi, a réalisé 21 longs-métrages, dont "Mes chers amis" (Ahibai Al Aizae), "Les pleurs des anges" (Boukae Al Malaikae), "Silence, sens interdit" (Sukut Al Itijah Al Mamnu) et "Feu vert" (Al Dawe Al Akhdar). Il a également réalisé de nombreux films égyptiens, notamment "Demain la terre ne changera pas" et "J'écrirai ton nom sur le sable", outre des séries télévisées comme "Abir Sabil" et "Lorsque les hommes pleurent".
Natif d'El Jadida en 1938 et diplômé de l'Ecole supérieure d'études cinématographiques (ESEC) de Paris en 1956, feu Mesbahi a travaillé au côté du comédien de théâtre et du cinéma, Jean Vilar, dans la troupe du Théâtre national français où il a côtoyé de grands artistes tels que Arrison Wells. Il fut membre du jury au Festival de Berlin, président de l'Union du cinéma arabe au Caire et directeur du Centre de la coopération internationale dans le domaine culturel à Dubaï, ainsi que membre du secrétariat général de la Ligue islamique mondiale (LIM) à La Mecque.