
Les Marocains de Montréal et d’ailleurs au Canada avaient rendez-vous, samedi soir, avec un concert haut en couleur du chanteur Hatim Ammor, qui a enchanté le public du festival Orientalys avec plusieurs de ses titres à succès.
"Psychologue", "Ayli Ayli", "Akher Mara" ou encore "Ya Saken" étaient parmi les morceaux qui ont fait danser le public présent. Plusieurs communautés arabes ainsi que des Canadiens de tous âges ont ainsi vibré au rythme des chansons interprétées par la star marocaine, qui a également chanté des titres du riche répertoire national.
Dans une déclaration à la MAP, Hatim Ammor a exprimé sa joie de se produire devant un public passionné et composé de plusieurs communautés arabes et de partager des moments forts avec eux, soulignant que c’est grâce au public qu’il a pu atteindre et maintenir un certain niveau de réussite durant sa carrière.
A ce propos, il a relevé l’intérêt de la présence des artistes sur les plateformes numériques, qui, selon lui, sont un outil important pour rester à l'écoute des fans.
Outre le spectacle de Hatim Ammour, cette troisième journée du festival Orientalys (7-10 août) a été marquée par la présence de l’ambassadeur du Maroc au Canada, Souriya Otmani, qui a visité la tente caïdale marocaine mise en place à l’occasion de cet évènement marquant de la scène culturelle estivale de Montréal.
Dans une déclaration à la MAP, l'ambassadeur a souligné l’importance de mettre en valeur à travers ce festival les multiples facettes de la culture marocaine aussi bien aux niveaux artisanal, musical et vestimentaire, "tout particulièrement à Montréal, une capitale multiculturelle et multiethnique".
Dans une déclaration similaire, la sénatrice canadienne Danièle Henkel a exprimé sa joie d’assister à ce festival et de visiter la tente caïdale marocaine qui, a-t-elle dit, lui rappelle ses origines marocaines.
Outre le Maroc, la 15è édition du Festival Orientalys, qui met en lumière le pluralisme et l’ouverture culturelle de la ville de Montréal, connait la participation de plusieurs pays. Accueilli sur le Quai de l’Horloge au Vieux-Port en plein cœur de Montréal, le festival propose aux visiteurs et touristes de vivre une expérience sensorielle unique, alliant rythmes, savoir-faire millénaire et inspirations contemporaines.
"Psychologue", "Ayli Ayli", "Akher Mara" ou encore "Ya Saken" étaient parmi les morceaux qui ont fait danser le public présent. Plusieurs communautés arabes ainsi que des Canadiens de tous âges ont ainsi vibré au rythme des chansons interprétées par la star marocaine, qui a également chanté des titres du riche répertoire national.
Dans une déclaration à la MAP, Hatim Ammor a exprimé sa joie de se produire devant un public passionné et composé de plusieurs communautés arabes et de partager des moments forts avec eux, soulignant que c’est grâce au public qu’il a pu atteindre et maintenir un certain niveau de réussite durant sa carrière.
A ce propos, il a relevé l’intérêt de la présence des artistes sur les plateformes numériques, qui, selon lui, sont un outil important pour rester à l'écoute des fans.
Outre le spectacle de Hatim Ammour, cette troisième journée du festival Orientalys (7-10 août) a été marquée par la présence de l’ambassadeur du Maroc au Canada, Souriya Otmani, qui a visité la tente caïdale marocaine mise en place à l’occasion de cet évènement marquant de la scène culturelle estivale de Montréal.
Dans une déclaration à la MAP, l'ambassadeur a souligné l’importance de mettre en valeur à travers ce festival les multiples facettes de la culture marocaine aussi bien aux niveaux artisanal, musical et vestimentaire, "tout particulièrement à Montréal, une capitale multiculturelle et multiethnique".
Dans une déclaration similaire, la sénatrice canadienne Danièle Henkel a exprimé sa joie d’assister à ce festival et de visiter la tente caïdale marocaine qui, a-t-elle dit, lui rappelle ses origines marocaines.
Outre le Maroc, la 15è édition du Festival Orientalys, qui met en lumière le pluralisme et l’ouverture culturelle de la ville de Montréal, connait la participation de plusieurs pays. Accueilli sur le Quai de l’Horloge au Vieux-Port en plein cœur de Montréal, le festival propose aux visiteurs et touristes de vivre une expérience sensorielle unique, alliant rythmes, savoir-faire millénaire et inspirations contemporaines.
Bouillon de culture
Antonio Banderas
La star espagnole Antonio Banderas a déclaré dans une interview publiée dimanche, le jour de son 65e anniversaire, qu'il n'avait aucune intention de prendre sa retraite.
"Quand j'avais 20 ans, je pensais que les personnes âgées de 65 ans marchaient avec une canne", a déclaré le comédien connu pour ses rôles dans "Le masque de Zorro", "Desperado" et "Philadelphia".
"Autrefois, à 65 ans, on prenait sa retraite. Plus maintenant - maintenant c'est plus tard", a-t-il ajouté dans une interview accordée au quotidien El País.
"Peut-être que je fais des choses que je ne devrais pas faire" a ajouté la star espagnole, qui a subi une crise cardiaque en 2017. "Mais les docteurs disent que je vais bien, que je peux faire tout ce que je veux".
L'acteur a confié avoir récemment commencé des cours de musique et s'être acheté un piano. "Je crois que je fais partie de ces personnes qui meurent si elles s'arrêtent. Je fais un métier que j'aime : c'est la chance de ma vie".
Antonio Banderas, qui a commencé à jouer au début des années 1980, continue de gérer le théâtre qu'il a ouvert en 2019 dans sa ville natale de Málaga, dans le sud de l'Espagne.
Il a passé une partie de son été à Boston sur le tournage du biopic sur le légendaire chef américain Anthony Bourdain, intitulé "Tony", avant de rejoindre les îles Canaries pour travailler sur un thriller, "Above and Below".
La star espagnole Antonio Banderas a déclaré dans une interview publiée dimanche, le jour de son 65e anniversaire, qu'il n'avait aucune intention de prendre sa retraite.
"Quand j'avais 20 ans, je pensais que les personnes âgées de 65 ans marchaient avec une canne", a déclaré le comédien connu pour ses rôles dans "Le masque de Zorro", "Desperado" et "Philadelphia".
"Autrefois, à 65 ans, on prenait sa retraite. Plus maintenant - maintenant c'est plus tard", a-t-il ajouté dans une interview accordée au quotidien El País.
"Peut-être que je fais des choses que je ne devrais pas faire" a ajouté la star espagnole, qui a subi une crise cardiaque en 2017. "Mais les docteurs disent que je vais bien, que je peux faire tout ce que je veux".
L'acteur a confié avoir récemment commencé des cours de musique et s'être acheté un piano. "Je crois que je fais partie de ces personnes qui meurent si elles s'arrêtent. Je fais un métier que j'aime : c'est la chance de ma vie".
Antonio Banderas, qui a commencé à jouer au début des années 1980, continue de gérer le théâtre qu'il a ouvert en 2019 dans sa ville natale de Málaga, dans le sud de l'Espagne.
Il a passé une partie de son été à Boston sur le tournage du biopic sur le légendaire chef américain Anthony Bourdain, intitulé "Tony", avant de rejoindre les îles Canaries pour travailler sur un thriller, "Above and Below".