Autres articles
-
Aux Pays-Bas, l'épineux problème des pesticides sur les fleurs
-
Pas de révélation des causes de l'autisme en septembre, corrigent les Etats-Unis
-
Un chauffeur de bus vole 6 euros et perd 73.000 euros de prime de retraite
-
Des shampoings aux aspirateurs, le petit commerce souffre des droits de douane de Trump
-
La neige au plus bas dans l'Himalaya
Les enfants élevés avec un bon mélange de fermeté et d'affection ont le plus de chances de réussir dans la vie, selon une étude du think tank britannique Demos intitulée «building character».
L'étude, qui porte sur plus de 9.000 foyers, montre qu'un bon équilibre entre la fermeté et l'affection favorise plus la capacité des enfants à vivre en société et à s'intégrer qu'une éducation autoritaire, laxiste ou absente, rapporte la BBC.
Selon le rapport, les enfants élevés selon l'approche de «fermeté affectueuse», ou «tough love» en anglais, ont plus de chance de développer des qualités telles que l'application, l'autorégulation et l'empathie, qui sont déterminanates dans les choix de vie, la mobilité et les opportunités. Ces qualités se forment dès le plus jeune âge chez les individus.
De plus, les différences dans le caractère des enfants disparaissent quand le style d'éducation et la confiance des parents sont pris en compte, ce qui prouve que l'éducation parentale a le plus d'influence, selon les auteurs de l'étude.
L'étude, qui porte sur plus de 9.000 foyers, montre qu'un bon équilibre entre la fermeté et l'affection favorise plus la capacité des enfants à vivre en société et à s'intégrer qu'une éducation autoritaire, laxiste ou absente, rapporte la BBC.
Selon le rapport, les enfants élevés selon l'approche de «fermeté affectueuse», ou «tough love» en anglais, ont plus de chance de développer des qualités telles que l'application, l'autorégulation et l'empathie, qui sont déterminanates dans les choix de vie, la mobilité et les opportunités. Ces qualités se forment dès le plus jeune âge chez les individus.
De plus, les différences dans le caractère des enfants disparaissent quand le style d'éducation et la confiance des parents sont pris en compte, ce qui prouve que l'éducation parentale a le plus d'influence, selon les auteurs de l'étude.