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L’actuelle Constitution rompt avec les précédentes et ouvre de nouvelles perspectives pour l’instauration de la monarchie parlementaire, a souligné Fathallah Oualalou. Après avoir jeté la lumière sur nombre de dispositions de la nouvelle Constitution, le nouveau rôle du gouvernement et la nouvelle mission du chef de l’Exécutif, le renforcement des compétences du Parlement, entre autres, il a tenu à, préciser que la culture du projet doit l’emporter sur celle de l’arrivisme. De même qu’il a relevé l’indépendance de la justice, entre autres points positifs de l’actuel projet. Fathallah a, également, évoqué la question de la démocratie participative qui passe par la reconnaissance de la citoyenneté du Marocain.
A la fin de son intervention, le Premier secrétaire adjoint a annoncé que la constitution n’est pas une fin en soi, mais il y a plus important, c'est-à-dire les réformes politiques, la neutralité de l’administration, l’interdiction de l’argent et de la religion dans la politique.
Pour sa part et au nom du Secrétariat régional, Ahmed Ouahoub a tenu rappelé toutes les étapes de la préparation du projet de nouvelle Constitution qui ont commencé depuis le discours Royal du 9 mars. Tout en indiquant que l’appel de l’USFP à voter « oui » est une décision raisonnable puisque nombre de revendications du parti figurent dans le projet actuel. Ahmed Ouahoub a fait savoir non sans fierté que ces demandes ont été acquises après de longues et rudes luttes.
Par ailleurs et pour expliquer les raisons de voter pour la Constitution, Hamza Doukkali a souligné que la Jeunesse Ittihadia qui fait partie de l’école réaliste ne peut qu’exprimer sa satisfaction, puisque le projet constitue un prélude à la monarchie parlementaire, et explicite clairement la répartition des pouvoirs, la consécration de la charte de la citoyenneté, l’égalité entre l’homme et la femme, et le rôle central des partis politiques.