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Pour sa part, le bureau local des fonctionnaires d’Ibn Rochd, affilié à la FDT, livre une version totalement opposée à celle présentée par les enseignants-chercheurs. En effet, à l’issue d’une réunion tenue vendredi dernier, un communiqué dudit bureau a été publié pour jeter la lumière sur les visées de certains enseignants qui font des mains et des pieds pour imposer leur autorité dans ce service et l’exploiter à des fins personnelles.
Qualifiés de «poches de résistance», certains enseignants-chercheurs de la Faculté de médecine et de pharmacie de Casablanca, souligne ledit communiqué, n’ont pas laissé indifférent, par leurs comportements et attitudes scandaleux, le personne médical et infirmier ainsi que celui de l’administration. Ces comportements consistaient à entraver, à trois reprises, la tenue du conseil d’administration du CHU, exercer la pression et terroriser les chercheurs intègres. Le but inavoué est de les évincer des services vitaux et donc de faire main basse sur tous les services, ajoute le communiqué.
Pire, plusieurs associations de bienfaiteurs avaient été invitées, selon ledit communiqué, à ne pas investir dans le CHU Ibn Rochd afin que les patients soient, tout simplement, soignés ou opérés dans les cliniques privées.
Tout en dénonçant les insultes, les invectives et les propos avilissants à l’égard du personnel infirmier et médical du CHU Ibn Rochd et le non respect des notes de l’administration aux niveaux local et central, le bureau local des fonctionnaires du Centre, affilié à la FDT, appelle le ministère de la Santé à intervenir pour rétablir l’ordre.