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Facebook a reconnu lundi avoir pendant quelques jours débloqué par erreur des contacts indésirables bloqués par des utilisateurs, un souci désormais réglé qui a touché 800.000 usagers entre le 29 mai et le 5 juin. « Nous savons que la possibilité de bloquer quelqu’un est importante », a indiqué sur le blog de Facebook une responsable du réseau social, Erin Egan, en précisant que le groupe souhaitait s’en « excuser ».
« Bloquer » quelqu’un sur Facebook l’empêche d’accéder à vos publications, de vous envoyer des messages et l’ôte de votre liste d'« amis ». Le « bug » n’a pas remis les utilisateurs bloqués dans les « amis » mais ils ont pu pendant ce laps de temps envoyer au « bloqueur » des messages sur le service de messagerie instantanée Messenger, a expliqué le groupe, qui a invité lundi les 800.000 usagers concernés à vérifier leurs listes de contacts bloqués.
Une transparence nouvelle
Facebook tente toujours de redorer son blason après le scandale Cambridge Analytica, qui lui vaut des enquêtes policières, parlementaires, et de la part des régulateurs aux Etats-Unis et dans d’autres pays. Depuis ce scandale retentissant qui a éclaté en mars, Facebook a promis la « transparence » et communique donc régulièrement, notamment pour révéler lui-même divers dysfonctionnements.
Le site a laissé filer les données personnelles de jusqu’à 87 millions de ses usagers à leur insu, qui se sont retrouvées entre les mains de la firme britannique Cambridge Analytica, spécialisée dans la communication stratégique et qui travailla en 2016 pour la campagne de Donald Trump à la Maison Blanche. Le patron Mark Zuckerberg avait dû s’excuser et s’expliquer longuement devant des parlementaires américains puis européens très remontés contre le groupe, qui revendique 2,3 milliards d’utilisateurs dans le monde.
« Bloquer » quelqu’un sur Facebook l’empêche d’accéder à vos publications, de vous envoyer des messages et l’ôte de votre liste d'« amis ». Le « bug » n’a pas remis les utilisateurs bloqués dans les « amis » mais ils ont pu pendant ce laps de temps envoyer au « bloqueur » des messages sur le service de messagerie instantanée Messenger, a expliqué le groupe, qui a invité lundi les 800.000 usagers concernés à vérifier leurs listes de contacts bloqués.
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Le site a laissé filer les données personnelles de jusqu’à 87 millions de ses usagers à leur insu, qui se sont retrouvées entre les mains de la firme britannique Cambridge Analytica, spécialisée dans la communication stratégique et qui travailla en 2016 pour la campagne de Donald Trump à la Maison Blanche. Le patron Mark Zuckerberg avait dû s’excuser et s’expliquer longuement devant des parlementaires américains puis européens très remontés contre le groupe, qui revendique 2,3 milliards d’utilisateurs dans le monde.