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C’est ce qui a failli se produire le mercredi 21 novembre lorsqu’un missile algérien a explosé à moins de 20 kilomètres du camp Rabouni provoquant une débandade parmi les habitants des camps qui ont échappé, providentiellement à la catastrophe.
En effet, le général, chef d’état-major de l’ALN, Caïd Salah, avait donné ses instructions pour intensifier les manœuvres, au niveau de la troisième zone militaire située à Bechar, sans tenir compte du danger que ces manœuvres peuvent représenter pour les populations séquestrées dans les camps de Tindouf.
Si l’explosion du missile n’a fait ni victimes, ni dégâts matériels importants, ces dernières ont eu la peur de leur vie, rapportent des sources informées.