La réaction de ce dernier qui est loin d’être un enfant de chœur, soit dit en passant, s’est quelque peu fait désirer, mais ce ne saurait tarder, bien que le journal officieux (si ce n’est pas plus) du PJD s’en soit chargé. De tels agissements ne seraient sûrement pas pour rassurer. Il en aurait été autrement s’il s’agissait d’un débat de fond entre les différentes composantes de cette majorité chancelante.
Il y aurait une question de fond, si l’on peut dire, sans qu’il y ait débat pour autant. Elle concerne la Caisse de compensation et cette réforme qualifiée par les uns de «solution miracle» et par les autres de «solution douteuse» et de «réforme problématique».
Et pendant que le Pjidiste Boulif en fait les louanges, l’Istiqlalien Baraka n’hésite pas à dire tout le mal qu’il en pense. Au fait, il y est ou il n’y est pas, l’ami Nizar.