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Ces résultats sont obtenus grâce au bon comportement de la valeur ajoutée agricole. Cependant, cette situation est loin d’être reluisante: « L’économie hors agriculture se situe dans une phase conjoncturelle défavorable, compte tenu des évolutions récentes des principaux indicateurs avancés de l’économie. La croissance de la valeur ajoutée non-agricole se serait située aux alentours de 1,3%, en variation annuelle, au 1er trimestre 2009, contre 6,6% réalisée un an plus tôt», précise le Haut Commissariat au Plan.
Il est signalé que la contraction de l’activité chez les principaux partenaires commerciaux devrait peser sur les débouchés à l’exportation du Maroc.
La demande étrangère, adressée à l’économie marocaine, reculerait de 5,5%, en variation trimestrielle, au premier trimestre 2009. «Cette baisse de régime, entamée depuis le début de l’année 2008, s’était matérialisée par un net recul au quatrième trimestre (-4,7%) et cela pour la première fois depuis 2001, clôturant ainsi l’année avec un taux de croissance de 2,7%, contre 8,1% réalisé en 2007», lit-on dans le point de conjoncture du même organisme.
Mohamed Kadimi
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